Citations sur d'aub.

Les premiers petars que nous eusmes estoient ainsi faits, les uns pour pendre à l'estrier avec le tire-fonds, les autres à la fourchette en contrepoussant

Les planchers brusloient sous leurs pieds

Les arriere-bans, et tout ce qui se pust amasser tumultuairement

Donne moy une embrassade

Villegagnon s'adressa à l'admiral [Coligny], luy exposant son desir d'aller faire peuplade en Amerique, se couvrant du zele d'y planter la religion reformée

Tant qu'on a fait mourir les refformez par les formes de la justice, quelque inique et cruelle qu'elle fust, ils ont tendu les gorges et n'ont point eu de mains

Ars et Rion se mettent à les desprendre, ce qu'ils ne pouvoient faire sans le secours d'un seau d'eau ; ce duel estant separé....

Ils furent chargez de gayeté de coeur par treize mattois armez de jacques de mailles

Encores ne nous apperceusmes nous d'estre demantelez [volés de nos manteaux] qu'à la seconde poste

L'infanterie, comme estant des plus vieux soldats de France, tira aussi bien que les autres à bout apuié

Il en deterra quinze ou seize, si deffigurez de fange et de sang, qu'il ne put connoistre son maistre

Mais, ne pouvant rien contre vent et marée, il tira son espingle du jeu

Terrefort en doublant le pas va se jetter en la tranchée

À l'instigation de plusieurs princes qu'il nomma à l'oreille, et desquels le nom fut supprimé

Et de ces derniers [capitaines et soldats protestants qui avaient donné tout ce qu'ils avaient pour fournir la solde des auxiliaires étrangers] les pages et laquais emulateurs arrachoient leurs pendans d'oreilles, si bien qu'un va-de-pied donna jusques à vingt escus

Le prince de Condé à six pas de là estoit porté par terre, son cheval lardé d'un tronçon de lance

Notre curé la bailla belle Aux huguenots de la Rochelle

La dureté du temps avoit rendu fevrier de peu d'effet aux sorties qui se firent

Inventions de supplices que je n'avois jamais oui, et surtout les sauteries de Mascon

Aubigné, estant entré dans Coutras, enfila la grande rue, et puis descendit au quay

Mettant la main sur la pognée de l'espée

Favas remontra le peril de desplacer à la veue de l'ennemi et en lui parant le costé

Le comte n'eut que des promesses captieuses, comme de n'estre mis en autres mains que celles du roi

Sa troupe le trouva abatu sous son cheval mort, et les espées qui lui cherchoient le deffaut du hausse-col

Il en rendit surtout innocent Monsieur, du portrait duquel coppié avec une douceur affectée il fit present à toutes les personnes qui avoient pouvoir en l'affaire