Citations sur beaumarch.

Puisque madame le veut, que Suzanne le veut, que vous le voulez vous-même, il faut bien que je veuille aussi

Libertin par ennui, jaloux par vanité

Toujours amère et provocante !

Bien rosser et garder rancune est aussi par trop féminin

Le tout embrassé d'une soutanelle doublée de gazettes, et surmonté d'un bonnet carré, avec cette légende à la houppe : Qu'es-aco, Marin ?

Rosine : Murez les fenêtres tout d'un coup....Bartholo : Pour celles qui donnent sur la rue, ce ne serait peut-être pas si mal

On pensa à moi pour une place ; mais par malheur j'y étais propre

Dans les cas difficiles à juger, une bourse d'or me paraît toujours un argument sans réplique

Tout ça pourtant m'a coûté un fier baiser sur la joue

Plaisant mariage ! où sont les témoins ?

En me rendant ses soins qu'il appelle des visites, en me donnant ses conseils qu'il nomme des ordonnances, il [le médecin] remplit dignement et sans faste la plus noble fonction d'une âme éclairée et sensible

Vous iniuriez toujours notre pauvre siècle. - Pardon de la liberté ; qu'a-t-il produit pour qu'on le loue ? sottises de toute espèce, la liberté de penser, l'attraction, l'électricité, le tolérantisme, l'inoculation, le quinquina, l'encyclopédie et les drames

Es-tu un prince pour qu'on te flagorne ?

D'honneur, il sent la fièvre d'une lieue

Voyez la rougeur de ce coupable : en a-t-il un pied sur les joues !

C'est un billet doux qu'une fillette aura glissé dans sa main en passant

Le comte : Quel est donc ce Basile qui se mêle de son mariage ? - Figaro : Un pauvre hère qui montre la musique à sa pupille

Donner le change aux petites passions de M. le comte, étriller rondement M. du Bazile

On me dit que, pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions qui s'étend même à celles de la presse

Je prendrais l'air un moment sous ces arbres. - C'est le serein que tu prendras

Depuis, dis-je, qu'il a perdu, par une querelle de jeu, son libertin de fils aîné, tu sais comment tout a changé pour nous

Il faut souffrir ce qu'on ne peut empêcher

Forcé de parcourir la route où je suis entré sans le savoir, comme j'en sortirai sans le vouloir, je l'ai jonchée d'autant de fleurs que ma gaieté me l'a permis

On est tout surpris, un beau soir, de trouver la satiété où l'on cherchait le bonheur

Le maraud m'embarrassait ! en disputant il prend son avantage, il vous serre, vous enveloppe