Citations sur dis-je

Que dis-je ? hélas ! oui, la terre s'éveille, Belle et parée au souffle du printemps

Chaque fibre, que dis-je ! chaque fibrille est elle-même très en petit une machine qui, en exécutant des préparations analogues, s'approprie les sucs alimentaires, et leur donne l'arrangement qui convient à sa forme et à ses fonctions

Ah ! si quelques générations, que dis-je ? si quelques années après votre mort, vous reveniez, hommes oubliés, au milieu du monde....

Ah ! si quelques générations, que dis-je ? si quelques années après votre mort vous reveniez, hommes oubliés, au milieu du monde

J'ai dû prévoir tout cela : que dis-je ? je l'ai même prévu ; et en le prévoyant, je l'ai accepté

Cependant on le trouve, en parlant des personnes : Eh ! oui, vous dis-je encor ; quel homme saugrenu !

Quelle injustice, lui dis-je ! un caprice vous fait vous refuser à des démarches senties et nécessaires de ma part

Que dis-je ? quelquefois sur une armée entière L'affreux orage roule une mer de poussière

Que dis-je ? sa raison souvent est éclipsée

Veez-vous ce mur illec ?... - Oïl, sire, dis-je ; pourquoi le dites-vous ? - Je le dis pourtant, dit le chevalier, que vous veez bien que il est plus neuf que les autres

Sainte Marie, dis-je au chevalier, que vos paroles me sont agreables et que elles me font grand bien

Brinon, mon ami, lui dis-je avec un grand soupir, fermez le rideau [du lit], je suis indigne de voir le jour

Brinon, mon ami, lui dis-je avec un grand soupir, fermez le rideau [du lit], je suis indigne de voir le jour

C'est un fouet. - C'est un serpent ! vous dis-je ; à me tant tourmenter quel intérêt m'oblige ?

Mais enfin, je l'ai vu, vu de mes yeux, vous dis-je ; Et ne vois rien qui vous oblige D'en douter un moment après ce que je dis

À ce que je vois, lui dis-je d'un air railleur, votre révérence donne dans la métoposcopie

Mon cher monsieur, lui dis-je ; je vous remercie du conseil ; quelque jour je vous le revaudrai, si je puis

Hélas ! dis-je à la fin, c'est une furieuse histoire que la mienne

Vous exposant à des regards, que dis-je à des regards ? peut-être aux entreprises d'un perfide qui vous aura souillée

Ah ! bon Dieu ! dis-je en moi-même, ne sentirons-nous jamais que le ridicule des autres ?

Dieu, dis-je en moi-même tout bas, Dieu, délivre-nous du malin et du langage figuré ; les médecins m'ont pensé tuer, voulant me rafraîchir le sang ; celui-ci m'emprisonne de peur que je n'écrive du poison.... Jésus, mon Sauveur, sauvez-nous de la métaphore

Vous reculez, lui dis-je en l'interrompant, vous reculez, mon père, vous abandonnez le principe général, et, voyant qu'il ne vaut plus rien à l'égard des pécheurs, vous voudriez entrer en composition et le faire au moins subsister pour les justes

J'y consens, leur dis-je ; car je ne dispute jamais du nom, pourvu qu'on m'avertisse du sens qu'on lui donne

Vous reculez, lui dis-je en l'interrompant, vous reculez, mon père : vous abandonnez le principe général

Est-il permis de rechercher les occasions de pécher ? ou plutôt n'est-on pas obligé de les fuir ? cela serait assez commode. Non pas toujours, me dit-il, c'est selon. Selon quoi, lui dis-je ? Ho ! ho ! repartit le père, et, si on recevait quelque incommodité en fuyant les occasions, y serait-on obligé à votre avis ?