Citations sur lanoue

La jeunesse, qui est desireuse de nouveauté et ardante en ses affections, ne se peut retenir qu'elle n'aille gouster, voire se saouler de ces douces poisons

Ils estoyent logez toutesfois fortement

La mort de Selym estant arrivée, la crainte des princes se diminua, et par consequent le desir d'entreprendre

Il sçavoit plus de cent magnifiques manieres pour le dependre [son bien]

Ce grand mal si enraciné est difficile à arracher

L'insatiabilité et l'ingratitude qui nous rendent miserables sans mesure

Une des plus singulieres choses qu'on remarque en France, sont les beaux edifices dont les campagnes sont parsemées

Accoustumez de rejeter

Quelque puissant [gros] valet

Il y a de trois sortes de biens, les delectables, les utiles et les honnestes

L'accomplissement de nos oeuvres ne gist pas tant en l'humaine propcsition qu'en la divine disposition

Au regne du bon roy Henri second, par la frequence d'iceux [exercices], elle [la noblesse] s'en rendoit plus experte et illustre

Pour y remedier, faudroit bailler place en ces encogneures [coins, angles] à sept ou huict des plus braves harquebusiers

Ceux qui condamnent les autres par orgueil, il avient après que Dieu les condamne par justice

Nos jeunes gens, allans à Venise, et voyans la noblesse avec un bonnet en forme de crouste de pasté sur la teste.... rient à bouche ouverte

S'ils se fussent presentez à l'impourveue avec des bastons de cotterets ès mains

Si les pompes ont incité les princes, pour y satisfaire, de mettre sur leurs sujets des tributs excessifs et insupportables

Le plus ordinaire moyen qu'on suit pour cet effect est d'assieger places qui importent

Les armées se reculerent, tirans vers les quartiers moins mangez

Celui qui considere tels faits legerement, et les applique sans jugement, se deçoit

Pourtant ne doyvent-ils estre frustrez des loyers que les moindres d'eux esperent

Le roy de Navarre s'estoit revolté [retourné, avait fait une volte, avait repris la religion catholique]

Et qui est celui, tant barbare puisse il estre, qui ne porte... ?

L'art de transmuer les metaux imparfaits en parfaits, et de les multiplier en quantité

Or comme ainsi soit que les familles soient composées de differentes personnes, les unes pour commander, les autres pour obeïr, si ne doit-il pourtant y avoir aucun respect qui exempte les uns plus que les autres d'en user [d'un esprit de concorde]