Citations sur la bruy.

J'ai vu souhaiter d'être fille, et une belle fille, depuis treize ans jusqu'à vingt-deux, et, après cet âge, de devenir un homme

Il n'y a au monde que deux manières de s'élever, ou par sa propre industrie, ou par l'imbécillité des autres

Cléon parle peu obligeamment, ou peu juste ; c'est l'un ou l'autre ; mais il ajoute qu'il est fait ainsi, et qu'il dit ce qu'il pense

Vous dites d'un tiercelet de faucon qui est fort léger, et qui fait une belle descente sur la perdrix : voilà un bon oiseau

Dans l'équipage d'un homme qui a pris médecine

Ils semblent leur vouloir imputer le décri universel où tombe nécessairement tout ce qu'ils exposent au grand jour de l'impression

L'étude des textes ne peut jamais être assez recommandée ; c'est le chemin le plus court, le plus sûr et le plus agréable pour tout genre d'érudition

L'air de cour est contagieux ; il se prend à Versailles, comme l'accent normand à Rouen ou à Falaise

Si l'on me dit que je puis du moins acquiescer à cette doctrine

Vous le voyez planté, et qui a pris racine au milieu de ses tulipes et devant la solitaire

Que me servirait, comme à tout le peuple.... que ma patrie fût puissante et formidable, si, triste et inquiet, j'y vivais dans l'oppression ?...

Le tempérament a beaucoup de part à la jalousie

Les titres qu'il ne changerait pas contre les masses d'un chancelier

Il a trouvé le secret de monter et de descendre autrement que par l'escalier, et il cherche celui d'entrer et de sortir plus commodément que par la porte

Ils demeurent tranquilles dans l'étendue de leur sphère

Cette disposition de coeur et d'esprit qui passe des aïeux par les pères dans leurs descendants, est cette bravoure si familière aux personnes nobles, et peut-être la noblesse même

Il fait bâtir une maison de pierre de taille.... dont il assure en toussant et avec une voix faible et débile qu'on ne verra jamais la fin

Si je compare.... les grands avec le peuple, ce dernier me paraît content du nécessaire, et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu

Qui pourrait rendre raison de la fortune de certains mots, et de la proscription de quelques autres ?

Dom Fernand dans sa province est oisif, ignorant, médisant, querelleur, fourbe, intempérant, impertinent ; mais il tire l'épée contre ses voisins, et pour un rien il expose sa vie

Ces princes si formalistes sur leur rang

Elle [la moquerie] attaque l'homme dans son dernier retranchement, qui est l'opinion qu'il a de soi-même

La raison alors dans sa force devrait produire, mais elle est refroidie et ralentie par les années, par la maladie et la douleur

Il ne fait pas assez de cas de ce talent, pour faire son capital de l'étudier

[Dans les ouvrages de parti] Les faits y sont déguisés, les raisons réciproques n'y sont point rapportées dans toute leur force, ni avec une entière exactitude