Citations sur mont.

À quel soulcy ne nous desmettons-nous pour leur commodité [de nos chiens et de nos chevaux] ?

Si j'eusse esté si fol de rompre ce train....

Je ne sçay s'il y a traict en sa vie qui ait plus de fermeté que cettui cy

Quant à la mesnagerie, les bestes nous surpassent en cette prevoyance d'amasser

Nos pedantes vont pillotant la science dans les livres et ne la logent qu'au bout de leurs levres pour la degorger seulement et mettre au vent

Si est la pitié passion vicieuse aux stoïcques

À qui touche l'honneur de tant de victoires, à Guesquin, à Glesquin, ou à Gueaquin [celui que nous nommons du Guesclin] ?

Un empereur mourut de l'esgratigneure d'un peigne en se testonnant

Les officiers des roys de Sparte, trompettes, menestriers, cuisiniers, à qui en leur charge succedoient les enfants, pour ignorants qu'ils feussent

Il me semble raisonnable que meshui je m'appile et me recueille en ma coque, comme les tortues

Nous osons à cette heure et parler et escrire

Dez sa tendre enfance

Adjoustans, quels, combien d'hommes, quelles armes....

Presentez-vous toujours en l'imagination Caton, Phocion et Aristides, en la presence desquels les fols mesmes cacheroient leurs faultes, et establissez-les contreroolleurs de toutes vos intentions ; si elles se detraquent, leur reverence vous remettra en train

Nous pouvons tourner la teste çà et là

J'escris mes lettres tousjours en poste, et.... quoyque je peigne insupportablement mal.... ne les transcris jamais

Et ce que les Italiens disent qu'en la bataille de Fornuove, le cheval du roy [Charles VIII] le deschargea, à ruades et coups de pieds, des ennemis qui le pressoient....

Celui qui tumbe [meurt] obstiné en son courage

Il m'advient souvent en telle sorte de propos abbattus et lasches, propos de contenance, de....

Ils disent qu'il en provenoit des fruicts très utiles au privé et au public

Comme on se fourre souvent aux tables ouvertes des grands

Estant malade de la maladie dont il mourut

Lors il s'appercevoit de ses eschauldures et meurtrisseures

Voilà pourquoy Aristote mesme leur concede volontiers ceste science [l'astronomie à certains animaux]

Il y debvroit avoir quelque coerction des loix contre les escrivains ineptes et inutiles, comme il y a contre les vagabonds et faineants