Citations sur ch. d'orlÉans

Sans resveiller le chat qui dort

Mort de moy ! vous y jouez-vous ? Mon cueur, vous faictes grant folye

Belle, se ne m'osez donner De vos doux baisers amoureux, J'en emblerai bien un ou deux

Bien nectié du moisy de tristesse

Jaulier des prisons de pensée Souci, laissez mon cuer issir

Je ne congnois plus faulse soubs la lune

Et à mes pieds t'a abattu à terre

Desormais travailler [il] n'ose, Abayer ne mot sonner ; On lui doit bien pardonner ; Un vieillart peut peu de chose

Par priere de affaictée demande, Interrogé se l'ung ou l'autre avoue, à ce respons, s'aucuns le me demande, Entre deux eaues comme le poisson noue [nage]

Comme monnoye descriée, Loyauté je voi abriée Dessoubz le pavillon de honte

Quant oyez prescher le regnart, Pensez de vos oyes garder, Sans à son parler regarder ; Car souvent scet servir de l'art, Contrefaisant le papelart, Qui scet ses parolles farder

Je crois que non, car ainsi le me semble

Et font joyeuse chanterie De contres, deschans et teneurs

Puis çà puis là.... De plus en plus, tout vient et va