Citations sur gerson

C'est bon de recourir aux saints martyrs contre inconstance et pusillanimité

À ce tympan ou bedon se joignent toutes manieres de gesticulations ou jubilations

La voix de peur se dit autrement trepidation

Ne fumée de haine, ne tache quelconque de mensonge ou duplicité

Les bons livres font les bons clers

La vie de l'ame est grace de charité qui ne vient point en ame indisposée par peché mortel

Nous connoissons ces passions, mouvements ou affections ès petits enfants par voix ou sons qu'ils jettent par dehors, lesquelles voix nous disons en grammaire interjections, et en commun langage on les appelle aucunes fois degoisement

Laissons ces choses et disons que la premiere vie est defaillable

La debilitation du corps et du cerveau

Il luy suffist qu'elle ait Dieu, conscience et verité pour soy, et qu'elle prouffite au bien commun

À quoy pensois-tu, bel amy ? veulx-tu refformer ou corriger le monde ?

Tu monstres bien, o cueur seulet, que tu es tout fantasque

La voix de tristesse s'appelle autrement douleur.... detestation

Avecques ce [en faisant cesser le schisme] mettrez vostre pueple en plus grant union et plus grant obeissance que ne pourroit vraisemblablement estre, se ce discort ne fine

Celui cueur qui ne se veut elever à Dieu, est comme une beste qui n'a point d'entendement, et vit mondainement au plaisir de son corps

Sedition fault [pèche] et temerité

Incroyables maux viennent spirituellement et temporellement pour ce miserable et malencontreux discort

Oncques ne fut que le fort ne mangeast le foible, le riche, le pauvre

Chevalerie a vertu defensive par force ; clergie a vertu illuminative par prudence

La voix de pitié se nomme autrement munificence

Ô nobles et vaillans chevaliers, ne vous oubliez pas en ceste matiere, exposez vous en bataille volentiers et de cuer

Nostre miserable chair est toute malade et toute paresseuse et somnolente et debile à te prier

Bruit de ville et renommée qui dit tout à la volée, soit vray ou soit faulx

Les bons livres font les bons clercs

Qui commun sert, nul ne l'en paye ; et s'il mesprent, chacun l'abaye