Citations sur c. delavigne

Fuyons, l'ombre s'efface et l'aube va paraître

Ton nom ? - Je n'en ai pas ; mais tu vas m'en faire un

J'ai vu les citoyens.... S'entr'égorger l'un l'autre au nom de la patrie

Que le midi de sa noble carrière Brille, comme le tien, de feux éblouissants

D'avides proconsuls dévorent nos provinces

Croyez-vous que le roi, distinguant votre audace, Daigne illustrer un sang qu'il accepte par grâce ?

Je vous préviens d'avance que, depuis le père noble jusqu'au souffleur, tout sera de fantaisie

Je me perds dans la foule et deviens invisible

Granville : Te souvient-il, mon cher, qu'autrefois dans la classe Tu te mêlais déjà de déclamation ? Ton instinct t'y portait - Belrose : Dis ma vocation

Qu'elle est jolie ! Mes yeux cherchent en vain les fleurs fraîches écloses

Quels dédains protecteurs ! quelle étrange indolence !

Mes yeux cherchent en vain leurs fleurs fraîches écloses

Mourez ; tout doit mourir, et nos saints monuments S'abîment avec nous sans laisser plus de trace

Essayant sur le luth des chants efféminés

De la chair et du sang réprimez les murmures

Quand ils ont tant d'esprit, les enfants vivent peu

Et malgré les serments que Louis de Valois, Que le roi très chrétien a prêtés sur la croix

Dunois, à nous les chances ! Sur Péronne au galop cours avec six cents lances !

Quel effort douloureux s'est-il donc imposé ?

Mon astre, dit-on, me menace D'y mourir [à l'hôpital] aux dépens du roi : Pour elle accorde-moi la place, Et la survivance pour moi

Vous bavarderez : oh que non ! Louis : Répondez : n'avez-vous pas vos maux, Partant des médecins ? - Marcel : Oui-da ! pour nos troupeaux ; Mais pour nous, que non pas !

Ce doux pays reçoit du haut des cieux De ses rayons [du soleil] les premières caresses

Il sommeille accablé par la chaleur du jour

Eh ! mon cher, on ne vous a pas vu depuis votre représentation de retraite

Notre-Dame d'Embrun, soyez-moi secourable !