Citations sur perds

Sans vin je perds contenance ; C'est ce qui mieux me convient

Quoi ! pas un seul petit couplet ! Chansonnier, dis-nous quel est Le mal, qui te consume ? - Amis, il pleut, il pleut, il pleut des lois ; L'air est malsain, j'en perds la voix ; Amis, c'est là, Oui, c'est cela, C'est cela qui m'enrhume

Si je ne suis le temps, je me perds, parce que ma vie demeure arrêtée ; et d'autre part, si je suis le temps, qui se perd et coule toujours, je me perds nécessairement avec lui

Qui sait, grand Dieu ! quel sort m'attend ce soir ? Sous l'effort des sifflets si ma pièce succombe, C'en est fait, je vous perds ; je suis mort si je tombe

Je me perds dans la foule et deviens invisible

Quant à moi, je ne suis malheureux qu'à demi ; Car, si je perds un gendre, il me reste un ami

Je travaille à le perdre [Rodrigue] et le perds à regret

Et de quelque rigueur que le destin me traite, Je perds moins à mourir qu'à vivre leur sujette

C'en est fait ; je le perds ; l'impertinente crainte ! Que m'importe de perdre une amitié si feinte ?

En cet aveuglement ne perds pas la mémoire Qu'ainsi que de ta vie il y va de ta gloire

Je perds une maîtresse en gagnant un empire ; Mon amour en murmure et mon coeur en soupire ; Et de mille pensers mon esprit agité Paraît enseveli dans la stupidité

Et je perds mon trépas, Puisque, mourant pour lui, je ne le sauve pas

Ne perds plus de raisons à combattre ma flamme

Je perds tous les jours quelque ami, et on n'en refait plus à mon âge

Enfin dans cet horrible gouffre De misère et de vanité Je me perds ; et plus j'envisage La faiblesse de l'homme et sa malignité, Et moins de la divinité En lui je reconnais l'image

Dont je perds cueur, et audace me laisse, Crainte me tient, doute me mene en laisse

J'ai pour moi la justice, et je perds mon procès

Je me perds en cette contemplation

Arrêt enfin ; je perds ma cause avec dépens

Va, ne perds point de temps ; ce que tu m'as dicté, Je veux de point en point qu'il soit exécuté

Je perds trop de moments en des discours frivoles

Je meurs si je vous perds ; mais je meurs si j'attends

Sans consulter enfin si je me perds moi-même

Les critiques du temps m'appellent débauché, Que je suis jour et nuit aux plaisirs attaché, Que j'y perds mon esprit, mon âme et ma jeunesse

Je me perds dans cette pensée