Citations sur rotr.

Il y respectera la vertu la plus digne Dont l'épreuve ait jamais fait une femme insigne

.... Mes premiers baisers s'adresseront à vous, Qu'une si longue absence a séparé de nous

Je serai, si je veux, l'argus de votre vie

Pour sauver du mépris ma constance abattue, Je ne puis exalter l'ennemi qui me tue

Tu peux sans trahison le prendre au dépourvu

Tu veux, désespérée, ôter par ta furie, Un ministre à l'État, un père à la patrie

Comment ? ces enragés Gisent-ils déjà morts, l'un par l'autre égorgés ?

Un songe interrompu, sans suite, obscur, confus

L'hymen qui se traitait du duc et de Cassandre

Et dans un si beau temps jamais l'air en fureur A-t-il si tôt ravi l'espoir du laboureur ?

.... mes desseins pour elle, aux vôtres préférés, Sont ces puissants respects à qui vous déférez

Je sais qu'un fils qu'on perd afflige vivement

Et tomber avec moi dans la nuit du cercueil

L'amour de ses sujets est une sûre garde

Non, non, le droit ordonne en première maxime Le prix à l'innocence et le supplice au crime

Ou ma vie ou la sienne, importunes sangsues, Doivent crever du sang dont elles sont repues

Son sein est travaillé d'un cruel battement

J'agis sans intérêt ; ce mot te doit suffire, Et n'en veux d'autre fruit que de ne t'en rien dire

Veuve dès à présent par ma mort prononcée

Et puis, qu'est un palais, qu'une maison pompeuse Qu'à notre ambition bâtit cette trompeuse [la Fortune] ?

En ce vase chétif tout Hercule est enclos, Je puis en une main enfermer ce héros

Voici le fer encor destiné pour sa perte ; Mais la commodité ne s'en est pas offerte

L'histoire, des grands coeurs la plus chère espérance

Je vais par un chemin d'épines et de flamme Te retenir un lieu digne de ta vertu

Ordres pressants