Citations sur rotr.

La fureur s'alentit par le retardement

Souvent en ces ardeurs la mort qu'on se propose, Ne semble qu'un ébat, qu'une ardeur, qu'une rose

Il saura, je le jure, Combien sensiblement me touche cette injure

Je n'avancerais rien en vous contredisant ; J'ordonnais autrefois et je prie à présent

Sort, voilà de tes jeux, et la roue a tourné

Songe avant-coureur d'aventure tragique ! Combien sensiblement cet accident s'explique !

Ce que veut tout l'État se peut-il dénier ?

Concorde étroite

Ce beau feu dont pour vous mon coeur est embrasé Trouvera tout possible et l'impossible aisé

Allez et n'imputez cet excès d'indulgence Qu'au pouvoir absolu qui retient ma vengeance

L'horrible cri d'une troupe d'orfraies A rempli d'un grand bruit tous les lieux d'alentour

L'amour est avec vous, et cet enfant honteux N'aime pas les témoins et se tait devant eux

Osez ce qu'ont osé tant d'autres conquérants

L'honneur qu'on porte aux siens devient illégitime

Remplis, pour commencer, l'une de ces requêtes

Votre cheval bronchant vous laissait dans la plaine

Pesez, auparavant que de rien intenter, La juste occasion qui doit vous y porter

Nos deux frères sont morts, ma mère suit leurs pas, Et le ciel toutefois ne se satisfait pas

Ce monstre si cruel [l'Envie] sous un front si courtois N'a-t-il pas de l'accès en la maison des rois ?

S'il vous souvient encor du combat où les Perses Eurent sitôt rompu les escadrons romains

Quelle soudaine ardeur jusqu'aux os me consume ?

Qu'une femme est à craindre et hait obstinément !

La douleur extrême Que le fer imprimait en un endroit si pur [l'oeil]

J'agis sans intérêt ; ce mot te doit suffire, Et n'en veux d'autre fruit que de ne t'en rien dire

[J'avais vu] De César irrité le courroux s'alentir