Citations sur rotr.

Tu veux, désespérée, ôter par ta furie, Un ministre à l'État, un père à la patrie

L'amour est avec vous, et cet enfant honteux N'aime pas les témoins et se tait devant eux

On enterrera vif qui l'enterrera mort [Polynice]

Puissants ressorts

Parle, t'a-t-on surprise en ce fatal devoir Qui si visiblement contredit mon pouvoir ?

Par quelle merveille Mon oeil peut-il sitôt démentir mon oreille ?

.... mes desseins pour elle, aux vôtres préférés, Sont ces puissants respects à qui vous déférez

Votre valeur enfin naguère si vantée Dans de folles amours languit comme enchantée

Oui sans doute ; et jamais plus juste empressement Ni plus heureuse erreur ne surprit un amant

Immuable foi

Est-il rien que l'envie ou n'attaque ou n'infecte ?

Tel est ton ordre [ô fortune] aux biens que tu nous fais : Tu nous caresses, tu nous frappes, Tu viens à nous, tu nous échappes, Et tu ne t'arrêtes jamais

Et qui fait bien à tous peut dormir sûrement

Que dans un mot d'écrit nos pensers amoureux Nous portent chaque jour et rapportent nos voeux, Charment aucunement l'ennui de notre absence

Mettra-t-on tous les jours mon âme à la torture ?

Ah ! mon fils, étouffez ce damnable dessein

J'ai des argus aux coteaux d'alentour Qui feront leur devoir d'y veiller nuit et jour

Achevez de mes jours le pénible fuseau

Faites observer qu'aucun ne nous écoute

Le Gange, dont le jour voit la source en naissant, Par l'heur de mes travaux vous est obéissant

Et je n'ose vous dire une secrète peur Que m'imprime en l'esprit cette mauvaise humeur

Ma s pourquoi consulter des choses résolues, Et ne poursuivre pas comme on les a conclues ?

Genest, dont cette secte [le christianisme] aussi folle que vaine A si longtemps été la risée et la haine

Je souffrirai la mort plus volontiers qu'un maître

La fureur s'alentit par le retardement