Citations sur j. marot

Esjouys-toi, ne te mesle de guerre ; Car tu as chief qui les haulx au bas ruse, Crainct et doubté plus que cil de Meduse

Doubles canons et longues serpentines

Leur arcenac fut enflammé et ars

Mais tous vos ditz n'est que vieille matiere, Pour contenter sotz marjolletz de ville

Princes regnans et gens de prelature

Nos Allemans quelque petit doubterent, Voyans ce roch quasi inaccessible

Marchez aux champs, suscitez vos guydons, Faictes sonner trompes, fiffres, bedons

Car quant l'honneur de nous envenimez [souillez], Vous offensez Dieu, la loy et nature

Mais dessus tout, qu'il fit beau voir Le roy armé, accompaigné de princes !

Je voy que l'eau par temps le marbre myne

Car cueur, parlant soubz bouche desloyalle, N'est qu'arcenic dedans le miel logé ; Car trop desrogue à dignité royalle

Comment osez vous presumer, Cagnars, bejaulnes, decongneuz, Par vos faux blasons diffamer Les vaisseaux dont estes venuz

Voyant celui qui n'a comparaison D'honneurs et biens, saillir de sa maison....

Pas n'est marchant celluy qui tousjours gaigne

Qui bien prevoyt obvye à maint meschef

Le lendemain qui fut le treizieme de mai, Par un jour de dimanche, Marquetz [les Venitiens, ainsi dits de saint Marc, leur patron] sont en esmay

En cestuy bruyt fiffres, tabours sonnoient, Trompes, clerons, et chevaulx hanissoient

Oyez leur chant, c'est rompement de teste

En combattant, et battant les batteurs

Prenant au pis venir, s'il adveint que fortune....

Que mille corps restent ci pour hostaiges, Dont remplis sont nos monumens et estre

Bien estoit de l'accord qu'on allast à l'encontre, Mais comte Petillane chantoit d'une aultre contre

Triboullet fut ung fol, de la teste escorné, Aussi saige à trente ans que le jour qu'il fut né

Mais est il riens qui princes tant honnisse [que l'avarice] ?

Lors me dist à voix espamye : Encore un coup, le cueur me deult