Citations sur e. desch.

À ceux convient cent fois le jour plaidier, Et en plaidant prennent un incident Pour la paye longuement delayer [retarder]

Chascun se doit à son per assembler, Pour vivre jà non dissemblablement

Si tu es prins d'un sergent, Comment fais-tu ? je trume à plain ; Je me rescous bien d'un villain

En la forest jadis noble et deserte A le sanglier vermillié la fouchiere [fougère]

Qui bien savoir veult l'art de theorique, Avant qu'il soit bon rhetoricien, Quatre poins fault avoir en sa pratique

Et en après voy l'autre cas, Qui leur est dur et impropice

Se chevaulx à chasse marée Estiez, qui chascun jour sont las, S'estable aviez bien aprestée, Coucheriez vous à tout le bas [avec le bât] ?

Quand madame et ma deesse Et mon paradis mondain...

Mais assez d'autres femmes voy, Qui vont par tout sans nul convoy, Aus festins, aux champs, au theatre, Pour soulacier et pour esbatre

Et convendra que tout premiers Se facent presentacions Par ordre et recitations L'endemain des faiz advenus

Car selon loy hebrée et en latin, Tuit sommes faiz trespassans par ce monde

On parle de paons rostis, De turterelles, de pigons

Tuit estrangier l'ament et ameront [Paris] ; Car pour deduit, et pour estre jolis, Jamais cité tele ne trouveront ; Rien ne se puet comparer à Paris

....Bartolomieu, helas, Fu escorchiez ; de St Andrieu lisons Qu'en croix mouru ; decapitations Fu à Jacques....

Prince, qui veut vivre en felicité, En l'amour Dieu, en honeur, en vaillance

Le cochelet [coq d'un clocher] tournant....

L'an mil trois cent un avec quatre vins, Le premier jour du doubteux mois de mars, Leva grant vent de paillars et coquins Qui a Paris couru de toutes pars

J'aim par amours la plus belle figure Que nulz homs puist de ses yeux regarder

Dont leur prophete Merlin Pronostica la douloureuse fin Quand il escripst : vie perdrez et terre

Et sy ay veu ailleurs escript Un proverbe qui sur ce dit Que les grans noces font li sot, Et li saige homme sans escot

C'est qu'entre tous court voix et renommée De pis avoir pour le pueple et l'eglise

Fors et appers, convoiteux de vouloir Tout assovir et plus que mon povoir

D'entour lui [il] doit touz menteurs rebouter

A St-Denis, un chafault et parterre, Joustes très grans où l'or luit et habonde

Car tresor n'est qui vaille sapience ; Rien ne se peut comparer à science