Citations sur malh.

L'aise et l'ennui de la vie Ont leur course entre-suivie

Qui doute que, si de ses armes Ilion avait eu l'appui, Le jeune Atride avecque larmes Ne s'en fût retourné chez lui ?

Vous êtes quitte à lui quand vous lui avez payé son naulis

Un tyran outrageux

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre Est sujet à ses lois [de la mort]

Tel qu'à vagues épandues Marche un fleuve impérieux, De qui les neiges fondues Rendent le cours furieux

Quand on se restreint dans la servitude de traduire mot à mot

À l'est, la rivière sert de clôture à notre jardin.... Beaux jardins qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs

Madame, avisez-y, vous perdez votre gloire De me l'avoir promis et vous rire de moi

Quoique les Alpes chenues Les couvrent de toutes parts

Ma peur est que.... Ma foi, qu'en me voyant elle avait agréable, Ne lui soit contemptible en ne me voyant pas

Beau parc et beaux jardins qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs et des ombrages verts, Non sans quelque démon qui défend aux hivers D'en effacer jamais l'agréable pointure

Cette société [des hommes entre eux].... est saintement et religieusement observable

Aurait-elle appris la merveille De si bien charmer ses appas Que je pusse la trouver belle ?

J'avais toujours fait compte, aimant chose si haute, De ne m'en séparer qu'avecque le trépas

Quand il se fait une douce dissolution, telle que peuvent avoir éprouvé ceux qui se sont quelquefois évanouis

...c'est aux faibles courages Qui toujours portent la peur au sein, De succomber aux orages

Vous m'excuserez de vous faire voir celle-ci [pièce de monnaie], quelque grimeline qu'elle soit

Le sceptre que porte sa race, Où l'heur aux mérites est joint, Lui met le respect en la face

La gloire des méchants est pareille à cette herbe Qui, sans porter jamais ni javelle ni gerbe...

Il faut mêler pour un guerrier à peu de myrte force palme

Un certain ecclésiastique que l'on prétend avoir été instigateur de cette belle affaire

Il n'y a si chétive ni si souillon qui se contente d'une couple de piqueurs

Mais quoi ! ma barque vagabonde Est dans les Syrtes bien avant

Vous n'y trouveriez rien [dans des vers], à mon avis, qui vaille les désirer