Citations sur malh.

L'épargne est une science de ne rien dépendre mal à propos

Le vieillard.... De nouvelles fureurs se déchire et s'entame

Quand je lui vouai mon service, Faillis-je en mon élection ?

S'être amusé par les chemins, comme ces laquais qu'on envoie au vin et qui s'amusent à jouer à la mourre

Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ?

Bornez-vous, croyez-moi, dans un juste compas

Ses flammes d'aujourd'hui seront glaces demain

Bien que tout reconfort lui soit une amertume, Avec quelque douceur qu'il lui soit présenté

Le bien-faire est, de soi-même, une chose désirable

Tant que sur votre front la douleur sera peinte

C'est une oeuvre où nature a fait tous ses efforts

Je me suis aujourd'hui trouvé au spectacle du midi, pensant y voir quelque farce ou quelque bouffonneur

Et de tous les pensers qui travaillent son âme....

Tout le fiel et tout l'absinthe Dont un amant fut jamais abreuvé

Il n'y avait ordre de manier le pinceau

J'ignorais [ce] que ce pouvait être, Qui lui colorait ce beau teint

Il ne peut davantage Que soupirer tout bas

Ressouviens-toi qu'une action Ne peut avoir peu de mérite, Ayant beaucoup d'affection

Elle a forcé les vents et dompté leur furie

Si l'espoir qu'aux bouches des hommes Nos beaux faits seront récités Est l'aiguillon par qui nous sommes Dans les hasards précipités

Tous nos maux en ce monarque Ont leur refuge et leur secours

Il ne faut autre chose que savoir d'où l'esprit est venu, quelle est cette raison qui domestiquera la rage de ses convoitises

De ces jeunes guerriers la flotte vagabonde, Allait courre fortune aux orages du monde

Ceux qui ne sont pas encore arrivés à la sagesse, mais sont logés aux faubourgs

Comme tous ceux qui courent dans un labyrinthe, nous nous impliquons toujours davantage