Citations sur malh.

Aime.... maintenant l'aise de nos yeux

Et, sans faire le vain, mon aventure est telle, Que, de la même ardeur que je brûle pour elle, Elle brûle pour moi

Et que l'audace est mal apprise De ceux qui....

J'ignorais [ce] que ce pouvait être, Qui lui colorait ce beau teint

La gloire des méchants est pareille à cette herbe Qui, sans porter jamais ni javelle ni gerbe, Croît sur le toit pourri d'une vieille maison

L'épargne est une science de ne rien dépendre mal à propos

Je ne crois point qu'aux plus belles paroles du monde il y ait assez de persuasion pour adoucir une nécessité si amère

Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir

En ce fâcheux état ce qui nous réconforte, C'est que la bonne cause est toujours la plus forte

Quand il se fait une douce dissolution, telle que peuvent avoir éprouvé ceux qui se sont quelquefois évanouis

Casaux.... A mis le pied dans la fosse Que lui cavaient les destins

Et de tous les pensers qui travaillent son âme....

Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ?

Je n'estime pas repos, de ne pouvoir supporter le moindre mouvement du monde, mais bien une dissolution et languissement

Bien est-il malaisé que l'injuste licence Qu'ils prennent chaque jour d'affliger l'innocence, En quelqu'un de leurs voeux ne puisse prospérer ; Mais tout incontinent leur bonheur se retire, Et leur honte fait rire Ceux que leur insolence avait fait soupirer

Une manière de présomptueux, qui, avec un langage superbe et une mine pesante, rabrouent si dédaigneusement les personnes, qu'ils ne semblent faire montre de leur fortune que pour acquérir des ennemis

Grand roi, faites leur bon accueil

Mais tandis que les années Pas à pas font avancer L'âge où de ses destinées La gloire doit commencer

Déjà le Tésin tout morne Consulte de se cacher

Pense qu'il est si grand, qu'il n'aurait point d'offrande, S'il n'en recevait point que d'égales à lui

Pluton est seul, entre les dieux, Dénué d'oreilles et d'yeux à quiconque le sollicite

Qui devait.... De ce fatal accouplement Célébrer l'heureuse journée

La justice, le glaive en main, Est un pouvoir autre qu'humain

Oranthe.... Le coeur outré de même ennui, Jura que, s'il mourait pour elle, Elle mourrait avecque lui

Et que de mères à Memphis, En pleurant, diront la vaillance De son courage et de sa lance Aux funérailles de leurs fils !