Citations sur malh.

[L'homme qui meurt] doit se résoudre ou qu'il s'en va recevoir une meilleure vie, ou pour le moins qu'il retournera se rassembler à sa nature et à ce tout duquel autrefois il était venu

Que trouvez-vous de libéral en ces vomisseurs de matin, qui ont le corps aussi gras et potelé comme l'esprit tabide et léthargique ?

Ma peur est que.... Ma foi, qu'en me voyant elle avait agréable, Ne lui soit contemptible en ne me voyant pas

En cet âge penchant Où mon peu de lumière est si près du couchant

Le fer qui les tua [des enfants] leur donna cette grâce Que, si de faire bien ils n'eurent pas l'espace, Ils n'eurent pas le temps de faire mal aussi

La vie où vous êtes, pour ce qu'elle est frappée d'un brillement extérieur, donne incontinent une ombre épaisse à ceux qui s'y arrêtent

C'est une patience qui ne se trouve qu'en un homme de bien de supporter si longtemps que...

Les ridicules aventures D'un amoureux en cheveux gris

Je sais que les uns lui mettront, Comme à toi, les rides au front, Et feront à sa tresse blonde Même outrage qu'à tes cheveux

La déformité des esprits se fera connaître par le soin qu'on aura de l'embellissement du corps

Muguet, mot de satire ou de comédie

....Sans pouvoir attendre le reste de son armée, ce lui fut force de hasarder la bataille

Il a les yeux gros et fort enfoncés en la tête, les narines fort ouvertes ; et, à le prendre tout ensemble, il est extrêmement mal emminé

Et mon trépas aura des larmes De quiconque aura de l'amour

Une âme insusceptible de toute appréhension

Et mentiront les prophéties De tous ces visages pâlis, Dont la vaine étude s'applique à chercher l'an climatérique De l'éternelle fleur de lis

De ces beautés dont les appas Ne sont que rigueur et que glace

En ce malheureux siècle où chacun vous [les Muses] méprise, Et quiconque vous sert n'en a que de l'ennui, Misérable neuvaine, où sera votre appui, S'il ne vous tend les mains et ne vous favorise ?

Une libéralité n'est pas sitôt en leurs mains qu'ils n'en attendent une autre, comme si le manger leur faisait venir la faim

Quel astre d'ire et d'envie, Quand vous naissiez, marquait votre ascendant

La constance jamais ne démord ce qu'elle a résolu

La vertu, qui de leur étude Est le fruit le plus précieux, Sur tous les actes vicieux Leur fait haïr l'ingratitude

Quand on se restreint dans la servitude de traduire mot à mot

Quand ils payeront tous, et moi aussi

Un tyran outrageux