Citations sur cabane

La cabane était inébranlable

Le chasseur attend, cabané sous une feuillée épaisse

En Normandie, cabane de berger, niche à chiens, à lapins

Un jour une méchante cabane où il [Tournefort] couchait tomba tout à coup ; il fut deux heures enseveli sous les ruines, et y aurait péri, si l'on eût tardé encore quelque temps à le retirer

Une ruche est d'une structure sans comparaison plus ingénieuse que la cabane d'un Huron

Elle la prend au mot, se glisse en la cabane : Point de coup de balai qui l'oblige à changer

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre Est sujet à ses lois [de la mort]

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre Est sujet à ses lois [de la mort] ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois [de la mort] ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre, N'en défend pas nos rois

Le pauvre en sa cabane où le chaume le couvre Est sujet à ses lois [de la mort]

Heureux le temps où la douce cabane Me tenait lieu du palais Rivoli, Où chaque soir, sur la tiède savane, Je m'endormais au chant du bengali

Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau, Et, sans porter envie à la pompe des princes, Se contente chez lui de les voir en tableau

Rien n'est plus affreux que la condition du noir dans tout l'archipel américain ; on commence par le flétrir du sceau ineffaçable de l'esclavage, en imprimant, avec un fer chaud, sur ses bras ou sur ses mamelles le nom ou la marque de son oppresseur ; une cabane étroite, malsaine, sans commodités, lui sert de demeure

Nous prîmes une cabane et baissâmes [descendîmes] jusqu'à Orléans

.... Du prix de sa journée Il [le pauvre] meubla sa cabane et vêtit ses enfants

Que l'artisan ne puisse transmettre à ses enfants la cabane qu'il a bâtie et où ils sont nés, le champ qu'il a acquis et payé du produit de son travail, le lit même où ses enfants recueilleront ses derniers soupirs, s'ils n'ont pas vécu avec lui sous le même toit, au même feu et à la même table

Vous dites avec très grande raison qu'une cabane ne peut pas être le logement d'un agriculteur assez considérable ; qu'il lui faut des écuries commodes, des étables faites avec soin, des granges vastes et solides, des laiteries voûtées et fraîches