Citations les plus présentes dans les carnets de citations (Page 202 sur un total de 300 pages)

Certaines gens ont tellement honte d'emprunter qu'ils n'osent pas rendre.

L'amitié est devenue le seul préservatif efficace contre les dangers de l'amour.

... plus vous voulez vous élever, plus il faut avoir les pieds sur terre. Chaque arbre vous le dit.

Quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime jusqu'à sa peine.

Au bidonville, beaucoup de pauvres étaient riches. C'était merveilleux. Ils n'étaient attachés à rien.

Je crois notre jeune garçon un peu flâneur et médiocrement âpre au travail.

La passion est une atrophie momentanée du sens critique.

Il est bien des endroits ou la pleine franchise - Deviendrait ridicule et serait peu permise.

Les livres n'épuisent pas les paroles ; les paroles n'épuisent pas les idées.

L'individu obéissant à une vocation authentique est réactionnaire. Quelles que soient les opinions qu'il nourrit. Est démocrate celui qui attend du monde la définition de ses objectifs.

Après avoir discrédité la vertu, ce siècle est parvenu à discréditer les vices. Les perversions sont devenues des parcs suburbains que fréquentent en famille les foules dominicales.

Bougnat tu peux garder ton vin - Ce soir je boirai mon chagrin.

Le libertinage c'est aimer au pluriel
Tout en restant singulier.

Je n'ai pas beaucoup aimé cette piece de théâtre. Il faut dire que je l'ai vue dans de mauvaises conditions: le rideau était levé...

Il faut savoir jouer avec le savoir. Le jeu est la respiration de l'effort, l'autre battement du coeur, il ne nuit pas au sérieux de l'apprentissage, il en est le contrepoint.

Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous.

Il y a autant de générosité à recevoir qu'à donner.

Les riches qui pensent que les pauvres sont heureux ne sont pas plus bêtes que les pauvres qui pensent que les riches le sont.

Comme le fruit se fond en jouissance, - Comme en délice il change son absence - Dans une bouche où sa forme se meurt ...

Un livre de cuisine, ce n'est pas un livre de dépenses, mais un livre de recettes.

Le paradis, à n'en pas douter, n'est qu'une immense bibliothèque.

On ne peut pas vivre le doigt perpétuellement sur son pouls.

Ce qu'on éloigne, l'éloignement le protège.

Ce qu'on appelle le «charme» d'une personne, c'est la liberté dont elle use vis-à-vis d'elle-même, quelque chose qui, dans sa vie, est plus libre que sa vie.

Ce n'est pas parce que les malais sont laids, les portugais gais, les colombiens biens que les espagnols sont gnols.