Citation Ce qui vient de la
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Une Sélection de 280 citations et proverbes sur le thème Ce qui vient de la.
280 citations
Qui devient étranger aux autres devient étranger à soi-même: aliéné. A la limite, être, c'est aimer. «J'aime donc je suis». On ne possède que ce qu'on donne. Il ne faut jamais traiter autrui comme un objet.
Presque tous les esprits errent autour de la chose qu'ils veulent exprimer, sans aller jusqu'à elle, ou sans l'entamer entière. De là vient peut-être qu'en matière d'esprit, on a nommé sublime ce qui n'est que cet excellent vrai toujours manqué.
La Peste, de Camus, qui vient de paraître, me semble un bon exemple de ce mouvement unificateur qui fond dans l'unité organique d'un seul mythe une pluralité de thèmes critiques et constructeurs.
Tout ce qui n'est pas purement affectif devient insignifiant. Adieux à la raison. Plus de tête. Plus qu'un coeur.
Un bruit inoubliable, un bruit qui est une douleur physique. On vient de refermer la porte et, après le bruit des lourdes clefs qui tournent dans les serrures, j’entends le fer qui claque deux fois. Deux grands verrous que l’on pousse avec violence, volontairement sans doute, pour signifier l’enfermement. C’est un bruit métallique, aigu, bref, définitif et irrévocable. Le fer du verrou s’enfonce en moi. Je suis le papillon épinglé par le travers du corps. Cloué.
Tout ce qui devient de plus en plus grand, cela devient aussi de plus en plus difficile à garder pour soi.
Au contact de la quatrième révolution industrielle, la phallocratie devient soluble : tous égaux devant le chômage et les applications de rencontre. Des corps usés, nervures dissoutes, de la viande au rabais qui à force de râteaux s'est tellement attendrie, c'est dur de distinguer l'identité sexuelle de la chair à pâtée, quel que soit le marché sur lequel elle évolue.
Parfois, le réel devient fou. Ce qui nous arrive défie tellement l'entendement que cela met en péril notre continuité d'exister, cette stabilité que nous avons conquise depuis notre naissance et qui nous a permis de nous construire un monde intérieur et d'acquérir une identité.
L'utopie d'ailleurs, convenons-en, sort de sa sphère radieuse en faisant la guerre. Elle, la vérité de demain, elle emprunte son procédé, la bataille, au mensonge d'hier. Elle, l'avenir, elle agit comme le passé. Elle, l'idée pure, elle devient voie de fait. Elle complique son héroïsme d'une violence dont il est juste qu'elle réponde ; violence d'occasion et d'expédient, contraire aux principes, et dont elle est fatalement punie. L'utopie insurrection combat, le vieux code militaire au poing ; elle fusille les espions, elle exécute les traîtres, elle supprime des êtres vivants et les jette dans les ténèbres inconnues. Elle se sert de la mort, chose grave. Il semble que l'utopie n'ait plus foi dans le rayonnement, sa force irrésistible et incorruptible. Elle frappe avec le glaive. Or aucun glaive n'est simple. Toute épée a deux tranchants ; qui blesse avec l'un se blesse à l'autre.
Les industriels et les hommes politiques font semblant de croire que les Américains sont un peuple de grimpeurs. Tout le monde doit aspirer au sommet, tout le monde doit monter, monter, monter, ce qui revient à monter sur les autres, à prendre appui sur eux et à les écraser, à escalader une montagne d'hommes et de femmes entassés pour planter son drapeau personnel à l'arrivée. Ça, c'est la pyramide hiérarchique, a dit Fausto. Et celui qui n'est pas un varappeur dans l'âme, celui-là est considéré comme un moins que rien, un raté, un parasite, même si, pour gravir cette foutue montagne, il faudrait déjà qu'il sorte du trou, et qu'il ne possède même pas d'échelle pour se tirer d'affaire.
Je ne dirai jamais qu'une femme de 50 ans n'est pas désirable, pas belle, ce serait une aberration. Là je suis prêt à sortir avec une femme de 40 ans, ce qui n'était pas le cas il y a dix ans. C'est le côté dix ans d'écart qui me convient.
Notre humeur met le prix à tout ce qui nous vient de la fortune.
S’il y a une chose que je comprends, c’est le besoin de plus en plus fort, à mesure qu’on avance dans la vie, d’un animal de compagnie. Rien de tel qu’un chien pour nous témoigner chaque fois qu’on lui parle, qu’on le quitte ou qu’on revient, cet amour frétillant, gémissant, sans condition, qui ne ressemble à aucun autre et dont faute de mieux on a tant de mal à se passer.
Le soir tombait. Un givre épais recouvrait tout : les branches tordues des arbres, les fils et les poteaux des clôtures, l'herbe drue, la terre des champs presque nus. C'était comme un monde d'horribles formes blanches, angoissantes, féeriques, un univers cristallin d'où la vie semblait bannie. Je regardais les montagnes : le vaste mur bleu barrait l'horizon, gardien d'un autre monde, caché celui-là. Le soleil, du côté de l'Abkhazie sans doute, tombait derrière les crêtes, mais sa lumière venait encore effleurer les sommets, posant sur la neige de somptueuses et délicates lueurs roses, jaunes, orange, fuchsia, qui couraient délicatement d'un pic à l'autre. C'était d'une beauté cruelle, à vous ravir le souffle, presque humaine mais en même temps au-delà de tout souci humain. Petit à petit, là-bas derrière, la mer engloutissait le soleil, et les couleurs s'éteignaient une à une, laissant la neige bleue, puis d'un gris-blanc qui luisait tranquillement dans la nuit. Les arbres incrustés de givre apparaissaient dans les cônes de nos phares comme des créatures en plein mouvement. J'aurais pu me croire passé de l'autre côté, dans ce pays que connaissent bien les enfants, d'où l'on ne revient pas.
Je suis toujours surpris que les rois n'essaient point si ceux qui écrivent de grandes choses ne seraient pas capables de les faire: cela vient, vraisemblablement, de ce qu'ils n'out pas le temps de lire.
Le chien vient au monde, et quelques semaines plus tard il appartient à un maître, il devient son attente impatiente. Il connaît le code du bien et du mal qui lui a été inculquée, et par conséquent la mauvaise conscience, il peut être accablé. Sa joie, ce sont les louanges du maître. Il n'en ai jamais rassasié. Il veut tout partager avec son maître, même la nourriture, même le restaurant enfumé, ses amis, ses ennemis. Il jouit d'une confiance aveugle. Devant son chien, le maître se montre complètement nu.
Ce qui me dégoûte dans la haine, c'est sa grossièreté: elle accueille n'importe quel bruit, se nourrit de tout, sans examen, sans discernement. Comme elle est bête et rend bête! Un grand esprit qui hait devient aussi stupide qu'un bouvier.
Celle qui plie le temps, le ramasse, en devient la dépositaire, à qui on confie avec le geste d'un marchand de tapis ce déroulé de nos années, où tout est dessiné, comme sur un codex, des heurs et des malheurs d'une existence, de ses espoirs de rencontre, de la rencontre, de sorte que le temps à venir se trouve en elle.
Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une relation amoureuse s’apparente à une parade nuptiale digne des dindons. On se gonfle les plumes, on se rengorge (pour les mâles), on se tortille le derrière, on roucoule (pour la femelle). On devient moche, on devient con(ne), on laisse tomber ses ami(e)s, on prend des airs niais, on rit pour un rien, enfin on ne rit plus du tout. On se fait des serments, on les viole, on ment, on se sépare. Au suivant ! Et ça recommence
Héros, bourgeois, anges, démons, hommes de plein soleil et rond-de-cuir de l'ombre, faites attention ! prévient Homère. Ne chercher point à trop réussir votre mort. Sous peine de rater ce qui la précédait et qui n'est pas négligeable… la vie ! Brave, beau, harmonieux, fort, renommé, prêt à renoncer à une vie de café, comme disait Stendhal pour qualifier l'existence facile : tel est le héros grec. Peut-être à se hisser trop haut regrettera-t-il un jour de n'avoir pas su apprécier sa dernière matinée de printemps. Un héros est l'homme de l'éclat. Son plastron de gloire sera peut-être un jour baigné de ses larmes.
Tout le malheur des hommes vient de l'espérance qui les arrache au silence de la citadelle, qui les jette sur les remparts dans l'attente du salut.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Le mal ne tente pas de nous séduire en nous révélant l'atroce réalité de ses plans monstrueux. Au contraire, il vient à nous drapé des robes diaphanes de la vertu et nous murmure à l'oreille des mensonges enchanteurs qui visent à nous entrainer au plus profond du lit obscur de nos tombes éternelles
Les demoiselles d'honneur réjouissent les yeux de ceux qui attendent l'arrivée de la mariée; mais quand vient celle-ci, les demoiselles d'honneur n'ont plus aucune importance aux yeux des invités.
Je crois que la sagesse vient avec l'âge, la vie et la douleur. Et le fait de savoir ce qui compte.
Ce que je crois (1952) de André Maurois
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Pensées sur différents sujets (1719) de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
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Situations II (1948) de Jean-Paul Sartre
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Configuration du dernier rivage (2013) de Michel Houellebecq
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Librement (1998) de Bernard Tapie
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Le monde de Sophie (1991) de Jostein Gaarder
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Mes bien chères soeurs (2019) de Chloé Delaume
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Les Enténébrés (2019) de Sarah Chiche
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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Farrago (2003) de Yann Apperry
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Interview accordée à Technikartmag, Janvier 2019 par Laurence Rémila & Louis-Henri de La Rochefoucauld de Yann Moix
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Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 47 de François de La Rochefoucauld
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Encore un instant (2017) de Claude Sarraute
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Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
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Réflexions et Maximes (1746) de Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Malatesta (1946) de Henry de Montherlant
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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Un été avec Homère de Sylvain Tesson
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L'Homme révolté (1951) de Albert Camus
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Les Piliers de la création de Terry Goodkind
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Dracula (1897) de Abraham Stoker, dit Bram Stoker
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Sous la glace (2013) de Louise Penny
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