Citation Font tout
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Une Sélection de 220 citations et proverbes sur le thème Font tout.
220 citations
Les hommes sont un peu comme Dieu: tout ce qu'ils peuvent faire, ils le font. Ou ils le feront.
À l'extérieur, l'« établissement » paraît spectaculaire, les journaux en font toute une légende. Vu de l'usine, ce n'est finalement pas grand-chose. Chacun de ceux qui travaillent ici a une histoire individuelle complexe, souvent plus passionnante et plus tourmentée que celle de l'étudiant qui s'est provisoirement fait ouvrier. Les bourgeois s'imaginent toujours avoir le monopole des itinéraires personnels. Quelle farce ! Ils ont le monopole de la parole publique, c'est tout.
Librement esclaves, ils opèrent tout à la fois volontairement et nécessairement : ils font réellement ce qu'il veulent, mais sans pouvoir déranger les plans généraux.
Tout le monde n'est pas prêt à la vérité. Les gens s'en foutent de la vérité. Ce qui compte, c'est ce qu'ils croient. La vérité, ils écrivent par-dessus. Ils la font disparaître à force de fictions, de récits. Ils vivent de ça, de ce qu'ils racontent.
Les gens ont toujours cru aux miracles. C’est dans leur nature de croire que les choses peuvent toujours s’améliorer de manière mystérieuse. Si tout le reste échoue, des forces supérieures les aideront en temps voulu. Et les gens font ça parce qu’ils savent que l’essence de la vie… c’est que, depuis toujours et n’importe quand, tout peut tourner mal.
Ce que les hommes
Font marcher avant tout, dans le siècle où nous sommes,
Ce sont les biens, c'est l'or, mérite universel.Dieu nous garde des hommes sincères! Ils font autant de bêtises que les autres - tout le monde en fait - et ils vous empoisonnent la vie...
Toutes les formes de fascismes m'ennuient. Tous les gens pratiquants m'ennuient, me font peur surtout. Les gens qui croient, qui sont derrière un drapeau. J'ai un peu peur car il faut élaguer pour arriver sur la montagne où l'on va planter son drapeau.
Certes les lois mathématiques n'astreignent que notre intelligence et restent étrangères au monde extérieur. Mais l'abus seul qu'on en fait nous avertit, et ce n'est que par notre pensée que nous rectifions notre pensée. Car tout le génie de Bergson ni le bon sens de James ne nous font toucher immédiatement le monde extérieur.
Le jour des élections, partout dans le monde, il y en a qui font de la planche au lieu d'aller voter. On appelle ça le surfage universel.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Souvent d'un faux espoir un amant est nourri: - Le mieux reçu toujours n'est pas le plus chéri; - Et tout ce que d'ardeur font paraître les femmes - Parfois n'est qu'un beau voile à couvrir d'autres flammes.
Vrai ou faux, ce qu'on dit des hommes tient souvent autant de place dans leur vie et surtout dans leur destinée que ce qu'ils font.
Les raisonnements dont nous rions sont ceux que nous savons faux, mais que nous pourrions tenir pour vrais si nous les entendions en rêve. Ils contrefont le raisonnement vrai tout juste assez pour tromper un esprit qui s'endort.
Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles - Qui font souvent le bien et peuvent tout le mal, - Et ces yeux, où plus rien ne reste d'animal - Que juste assez pour dire «assez» aux fureurs mâles!
Si quelque chose égale la sobriété des Arabes, c'est leur gloutonnerie. Admirables estomacs, qui tantôt ne mangent pas de quoi satisfaire un enfant, et tantôt se satisfont tout juste de ce qui étoufferait un ogre.
La femme russe donne tout quand elle aime, et l'instant et la destinée, et le présent, et l'avenir : elles ne savent pas faire d'économies, elles ne font pas de réserves et leur beauté s'en va, au profit de celui qu'elles aiment.
Dans le célèbre roman de George Orwell, 1984, trois empires se font la guerre. Si celle-ci est leur apparente motivation, elle est surtout l'assise de leur existence. Contre un ennemi, même supposé, il faut réagir, faire front, tenir et encadrer son peuple.
Peut-être même que l’enfance, ça n’existe pas. Peut-être qu'à n'importe quel âge, on encaisse le monde comme il va et puis c'est tout. Et seulement certaines heures en s'écoulant font comme des marques noires qui vous construisent
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
Les malheurs particuliers font le bien général; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers et plus tout est bien.
Mots dorés font tout en amour.
Presque rien sur presque tout (1996) de Jean d'Ormesson
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L'Etabli (1978) de Robert Linhart
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Considérations sur la France (1796) de Joseph de Maistre
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Celle que vous croyez (2016) de Camille Laurens
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Daytripper. Au jour le jour (2012) de Gabriel Bá
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Poèmes (1665-1674), Les Filles de Minée de Jean de La Fontaine
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Chers Zoiseaux de Jean Anouilh
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La seule certitude que j'ai, c'est d'être dans le doute de Pierre Desproges
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Le carnet de monsieur du Paur, homme public de Paul-Jean Toulet
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Le chat a encore frappé (2005) de Philippe Geluck
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Dépit amoureux (1656) de Molière
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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Le Rire (1899) de Henri Bergson
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Sagesse (1874) de Paul Verlaine
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Un été dans le Sahara (1857) de Eugène Fromentin
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L'Adolescent (1875) de Fiodor Dostoïevski
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Article 353 du code pénal (2017) de Tanguy Viel
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Candide (1759) de Voltaire
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Contes et nouvelles en vers (1665-1674), Pâté d'anguille de Jean de La Fontaine
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