Citation Sur la table
Découvrez une citation Sur la table - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Sur la table issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 180 citations et proverbes sur le thème Sur la table.
180 citations
Le tennis c'est comme le ping-pong, sauf qu'au tennis, les joueurs sont debout sur la table.
Mais, citoyens, imposer les riches, c'est les servir ; c'est un véritable avantage pour eux qu'un sacrifice considérable ; plus le sacrifice sera grand sur l'usufruit, plus le fonds de la propriété est garanti contre l'envahissement des ennemis.
Pendant une bouffée de silence, épaisse comme une brume, je viens d'entendre choir sur la table voisine les pétales d'une rose qui n'attendait, elle aussi, que d'être seule pour défleurir.
Ainsi, l’homme jadis laborieux se relâche en toutes choses jusqu’à devenir un simple instrument aux mains de gens qui ne poursuivent que d’ignobles profits. Son chômage lui était si peu imputable à tort que, d’un seul coup, il lui est tout à fait égal de combattre pour des revendications économiques ou d’anéantir les valeurs de l’État, de la société ou de la civilisation. Il devient gréviste sinon avec joie, du moins avec indifférence. J’ai pu suivre ce processus sur des milliers d’exemples. Et plus j’en observais, plus vive était ma réprobation contre ces villes de plusieurs millions d’habitants, qui attirent si avidement les hommes pour les broyer ensuite de façon si effroyable.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Un véritable homme de lettres, à la pensée de sa mort, est triste moins de mourir que de ne pouvoir concevoir sur la mort ne fût-ce qu'une seule pensée originale.
Quand j’ai mis un terme à ma carrière politique en mai 2012, je me suis retournée sur soixante-cinq ans d’une existence peu ordinaire. Je quittais alors des fonctions au service de la France et de la République, mais cette histoire – mon histoire – avait commencé bien plus tôt. Une naissance au lendemain de la Libération au sein d’une famille de résistants et de militants, des héros de légende qui débattent autour de la table de la salle à manger, puis, comme dans un film d’aventures, des complots, des assassinats, des braquages, des trahisons... J’ai tout vécu. Il y eut aussi, heureusement, de grands moments de bonheur et d’amitié, des rires, des victoires, des joies rares.
Soudain j’eus une révélation : les nuages se dissipèrent dans mon esprit et, en un éclair de lucidité, je compris la véritable nature des livres. Ce n’étaient pas simplement des mots assemblés sur une page pour créer une impression de réalité – chacun de ces volumes était la réalité. Ces livres-là ressemblaient à ceux que j’avais lus chez moi comme une photographie ressemble à son sujet. Ces livres étaient vivants !
La supériorité des blancs sur les rouges est incontestable. Je n'en veux que les haricots pour exemple.
Après trente ans de vie commune, on ne sourit à pleines dents que le soir, sur la table de nuit, dans un verre.
Je défends une position compliquée mais cohérente: comme citoyen, je suis intraitable sur le droit à l'outrance. Je veux vivre dans un pays où la liberté des uns n'est pas limitée par la croyance des autres. Les dessins venimeux, vaches, extrêmes, je ne saurais pas les faire, mais je suis heureux que ceux dont c'est le style puisse les réaliser.
Nous ne voyons pas de cause à la préférence que l'on accorde à la beauté morale sur la beauté physique, en admettant que le mépris pour la dernière soit véritable.
Mon grand-père avait décidé de m'inscrire au lycée Montaigne. Un matin, il m'emmena chez le proviseur et lui vanta mes mérites : je n'avais que le défaut d'être trop avancé pour mon âge. Le proviseur donna les mains à tout : on me fit entrer en huitième et je pus croire que j'allais fréquenter les enfants de mon âge. Mais non : après la première dictée, mon grand-père fut convoqué en hâte par l'administration ; il revint enragé, tira de sa serviette un méchant papier couvert de gribouillis, de taches et le jeta sur la table : c'était la copie que j'avais remise. On avait attiré son attention sur l'orthographe - « le lapen çovache ême le ten », - et tenté de lui faire comprendre que ma place était en dixième préparatoire. Devant « lapen çovache » ma mère prit le fou rire; mon grand-père l'arrêta d'un regard terrible. Il commença par m'accuser de mauvaise volonté et par me gronder pour la première fois de ma vie, puis il déclara qu'on m'avait méconnu ; dès le lendemain, il me retirait du lycée et se brouillait avec le proviseur.
Je considère qu'un ami est celui qui ne ment pas, ne fait pas semblant et parle avec toute la sincérité, la franchise que l'amitié véritable requiert. C'est ce que j'appelle l'exigence amicale: dire ce qu'on pense sans, bien sûr, être blessant.
Je ne me suis pas écarté par ignorance des allures de Pétrarque et de Boccace, car je sais ce qu'ils sont, mais afin de ne pas perdre mon temps, ma patience et ma réputation en poursuivant la folie de vouloir me transformer en eux: le pain sec mangé chez soi vaut mieux que celui que l'on consomme avec beaucoup de mets sur la table des autres.
La table est le plus sûr thermomètre de la fortune dans les ménages parisiens.
A table, l'autre jour, un réseau de guipure,
Comme un filet d'argent sur un marbre jeté,
De votre sein, voilant à demi la beauté,
Montrait, sous sa blancheur, une blancheur plus pure.Il admira Baldiroff lorsqu'il fit tomber son carreau sur la table contre laquelle il se brisa.
On se dit tiens, j'aimerais bien chanter comme la Callas ou jouer du piano comme Arthur Rubinstein. Puis, tout d'un coup, ça vous arrive. Vous voyez le numéro du Premier ministre s'afficher sur votre portable puisque je connais Jean Castex depuis longtemps, et qui me demande si je souhaite rejoindre l'équipe gouvernementale. Je réponds d'abord non. Et Jean Castex me dit que c'est pour être ministre de la Culture. Et je lui réponds là, tu me fais craquer.
Il y a dans la mise en scène d'un bon repas autre chose que l'exercice d'un code mondain; il rôde autour de la table une vague pulsion scopique: on regarde (on guette?) sur l'autre les effets de la nourriture.
La musique d'une poésie est bien plus souvent présente à mon âme, quand je m'assieds à ma table pour l'écrire, que l'idée nette du contenu, sur lequel souvent je suis à peine d'accord avec moi-même.
Quand l'idée vient, il faut s'y mettre tout de suite, sinon elle moisit et je n'ai plus envie. Quand je suis sur un album, je ne pense plus qu'à lui. Je me lève, je prends mon petit déjeuner et je me mets à ma table. J'arrête quand je suis moulue. Ou alors je travaille jusque vers 8 ou 9 heures du soir, avec un verre. J'aime bien. Les gens ne pensent pas que la bande dessinée, c'est du boulot. Mais un album me prend environ un an et demi. Davantage, s'il y a des choses techniques à dessiner. Comme des Vélib' ou des voitures. Je déteste ça !
Mon grand sujet, c'est l'amour de la vie. Je mets alors l'accent sur l'individualisme, le besoin de liberté, le destin de chacun. Ensuite, il y a les autres, parce qu'il n'est pas confortable de vivre seul. Deux autres thèmes apparaissent: l'amour, qui est le contact affectif, facile ou difficile à vivre, avec les autres, et, plus largement, l'ensemble des relations humaines. D'autres thèmes surgissent aussitôt: la critique sociale, le pouvoir, la violence, l'environnement, l'avenir de l'espèce humaine. Mon œuvre est un long cheminement à travers ces thèmes, parmi des personnages et des histoires généralement très différents de livre en livre.
Ecartelé sur la table, sous l'impitoyable réflecteur, il contractait et détendait les jambes comme une grenouille de dissection.
Sur la petite table du kiosque, il y a les journaux du soir pliés et empilés.
Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons de Coluche
Références de Coluche - Biographie de Coluche
Plus sur cette citation >> Citation de Coluche (n° 4319) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours, pour un nouvel impôt et de nouvelles levées, 27 avril 1793. de Georges Jacques Danton
Références de Georges Jacques Danton - Biographie de Georges Jacques Danton
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Jacques Danton (n° 129426) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Etoile Vesper (1946) de Sidonie Gabrielle Colette
Références de Sidonie Gabrielle Colette - Biographie de Sidonie Gabrielle Colette
Plus sur cette citation >> Citation de Sidonie Gabrielle Colette (n° 73357) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
Références de Adolf Hitler - Biographie de Adolf Hitler
Plus sur cette citation >> Citation de Adolf Hitler (n° 172410) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Carnets (1957) de Henry de Montherlant
Références de Henry de Montherlant - Biographie de Henry de Montherlant
Plus sur cette citation >> Citation de Henry de Montherlant (n° 41599) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La petite fille de la Ve (2015) de Roselyne Bachelot
Références de Roselyne Bachelot - Biographie de Roselyne Bachelot
Plus sur cette citation >> Citation de Roselyne Bachelot (n° 169618) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Délivrez-moi ! (2005) de Jasper Fforde
Références de Jasper Fforde - Biographie de Jasper Fforde
Plus sur cette citation >> Citation de Jasper Fforde (n° 164949) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées d'un emballeur (1851) de Jean Louis Auguste Commerson
Références de Jean Louis Auguste Commerson - Biographie de Jean Louis Auguste Commerson
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Louis Auguste Commerson (n° 45698) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Carnet de notes (2001) de Patrick Sébastien
Références de Patrick Sébastien - Biographie de Patrick Sébastien
Plus sur cette citation >> Citation de Patrick Sébastien (n° 12178) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les carnets de Joann Sfar - Si Dieu existe de Joann Sfar
Références de Joann Sfar - Biographie de Joann Sfar
Plus sur cette citation >> Citation de Joann Sfar (n° 156446) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sous les tilleuls (1832) de Alphonse Karr
Références de Alphonse Karr - Biographie de Alphonse Karr
Plus sur cette citation >> Citation de Alphonse Karr (n° 147061) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Mots (1964) de Jean-Paul Sartre
Références de Jean-Paul Sartre - Biographie de Jean-Paul Sartre
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Paul Sartre (n° 157668) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Eloge de l'amitié (1996) de Tahar Ben Jelloun
Références de Tahar Ben Jelloun - Biographie de Tahar Ben Jelloun
Plus sur cette citation >> Citation de Tahar Ben Jelloun (n° 17761) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Prologue de l'Orazia de Pierre l'Arétin
Références de Pierre l'Arétin - Biographie de Pierre l'Arétin
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre l'Arétin (n° 1165) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Cousine Bette (1846) de Honoré de Balzac
Références de Honoré de Balzac - Biographie de Honoré de Balzac
Plus sur cette citation >> Citation de Honoré de Balzac (n° 90833) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Emaux et Camées (1852) de Théophile Gautier
Références de Théophile Gautier - Biographie de Théophile Gautier
Plus sur cette citation >> Citation de Théophile Gautier (n° 105658) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Détours (1924) de René Crevel
Références de René Crevel - Biographie de René Crevel
Plus sur cette citation >> Citation de René Crevel (n° 70215) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview de Roselyne Bachelot à Franceinfo le 07 juillet 2020 de Roselyne Bachelot
Références de Roselyne Bachelot - Biographie de Roselyne Bachelot
Plus sur cette citation >> Citation de Roselyne Bachelot (n° 169624) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lecture de Brillat-Savarin de Roland Barthes
Références de Roland Barthes - Biographie de Roland Barthes
Plus sur cette citation >> Citation de Roland Barthes (n° 1668) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre, à Körner, 25 mai 1792 de Friedrich von Schiller
Références de Friedrich von Schiller - Biographie de Friedrich von Schiller
Plus sur cette citation >> Citation de Friedrich von Schiller (n° 121173) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Dans l'hebdomadaire l'Express n° 3011, 19 mars 2009. de Claire Bretécher
Références de Claire Bretécher - Biographie de Claire Bretécher
Plus sur cette citation >> Citation de Claire Bretécher (n° 167466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entrevue Revue Liaison par Jean-Louis Trudel, septembre 1993 de Jean-François Somcynsky, dit Jean-François Somain
Références de Jean-François Somcynsky, dit Jean-François Somain - Biographie de Jean-François Somcynsky, dit Jean-François Somain
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-François Somcynsky, dit Jean-François Somain (n° 168682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Thibault de Roger Martin du Gard
Références de Roger Martin du Gard - Biographie de Roger Martin du Gard
Plus sur cette citation >> Citation de Roger Martin du Gard (n° 74592) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Hommes de bonne volonté (1932-1946) de Louis Farigoule, dit Jules Romains
Références de Louis Farigoule, dit Jules Romains - Biographie de Louis Farigoule, dit Jules Romains
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Farigoule, dit Jules Romains (n° 81172) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Sur la table
Toutes les citations sur Sur la table Citations Sur la table Citation Sur la table et Proverbe Sur la table Proverbes Sur la table : 180 citations et proverbes sur Sur la table Citation sur sur Citations courtes sur
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
