Citation Sur ses pas
Découvrez une citation Sur ses pas - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Sur ses pas issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 500 citations et proverbes sur le thème Sur ses pas.
500 citations
Quand l'idée vient, il faut s'y mettre tout de suite, sinon elle moisit et je n'ai plus envie. Quand je suis sur un album, je ne pense plus qu'à lui. Je me lève, je prends mon petit déjeuner et je me mets à ma table. J'arrête quand je suis moulue. Ou alors je travaille jusque vers 8 ou 9 heures du soir, avec un verre. J'aime bien. Les gens ne pensent pas que la bande dessinée, c'est du boulot. Mais un album me prend environ un an et demi. Davantage, s'il y a des choses techniques à dessiner. Comme des Vélib' ou des voitures. Je déteste ça !
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
Elle se retourne, revient sur ses pas. La semelle décollée de ses chaussures racle le sol et l'oblige à marcher lentement. Elle voudrait que ses pieds se détachent de ses brodequins défoncés pour traverser ce qui la sépare de la liberté.
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
La volonté de l'homme ne peut rien sur la mort. Le malheureux l'appelle et elle se refuse à ses voeux; mais qu'elle soit un supplice, et elle accourt à pas précipités.
Sa vie se lisait sur sa peau et il la trouvait belle. Les hommes qui prétendent aimer la jeunesse ne font que s'aimer eux-mêmes, songea-t-il. Lui n'éprouvait pas le besoin de projeter l'encre de ses fantasmes sur la page blanche de femmes en devenir. Un être malléable ne lui inspirait pas de désir : c'était conquérir du vide. Il préférait les femmes que la vie avait polies et marquées, celles dont on touche, comme sur un livre en braille, les humiliations et les plaisirs au coin de la bouche et des yeux. Il aimait qu'avec un corps il y ait une âme un peu lasse et fourbue qui vienne se lover contre lui.
Je n'avais jusqu'alors jamais ressenti le besoin de regarder un homme comme les hommes semblent regarder les femmes -ces femmes sur les couvertures glacées des magazines, les hanches en avant et la bouche brillante à moitié ouverte, ou sur les affiches- ces femmes provocatrices qui surgissent des téléviseurs pendant que leurs maris, assis dans leurs fauteuils, s'efforcent de ne pas les regarder devant leurs épouses, tout en le faisant.
Mon voisin enseignait donc là et se dépensait, disait-on, sans compter, tel un orateur sur une barricade, avec une impétuosité, une fougue, un talent d'agitateur qui n'étaient pas prévus par son contrat de travail mais grâce auxquels les élèves semblaient apprécier ce maître qui, autant par son allure bohème que par ses talents d'éloquence, tranchait sur les autres représentants du corps professoral.
S'il n'y a pas un peu de poudre de perlimpinpin, rien ne peut se faire. Aller sur la mer, c'est aller se promener aux limites de ses capacités et de son savoir. Risquer. Oui, risquer sa vie. Pour s'en sortir, il faut un peu de cette poudre.
L'aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s'effritent dans la poussière ; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l'on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d'un bivouac. Le désert est d'une perversité !... C'est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s'évanouissent parmi les mirages plus vite qu'une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule ; un territoire d'échec et d'adjuration, un chemin de croix qui n'a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l'entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu'au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s'arrondir, l'horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l'avait tenu en haleine jusqu'au matin…
Pourquoi déclamer contre les passions ? Ne sont elles pas la seule belles choses qu'il y ait sur la terre, la source de l'héroïsme, de l'enthousiasme, de la poésie, de la musique, des arts, de tout enfin ?
J'aperçus ensuite sur sa peau. En une minute, Mme Bougeotte en eut fini avec Satsu, et lui dit de se rhabiller. En enfilant ses vêtements, Satsu renifla très fort. Peut-être pleurait-elle. Je n'osai pas la regarder.
Quels que soient les sentiments, bons ou mauvais, manifestés par une foule, ils présentent ce double caractère d'être très simples et très exagérés. Sur ce point, comme sur tant d'autres, l'individu en foule se rapproche des êtres primitifs. Inaccessible aux nuances, il voit les choses en bloc et ne connaît pas les transitions... La simplicité et l'exagération des sentiments des foules font que ces dernières ne connaissent ni le doute ni l'incertitude. Elles vont tout de suite aux extrêmes. Le soupçon énoncé se transforme aussitôt en évidence indiscutable. Un commencement d'antipathie ou de désapprobation, qui, chez l'individu isolé, ne s'accentuerait pas, devient aussitôt haine féroce chez l'individu en foule
Oh ! quel bon temps j'ai passé là, dans cette solitude bienfaisante, bien loin des mille petites choses agaçantes qui, à Paris, me mettent au supplice. Non, je ne regrette pas mes nuits passées dans les bois et mes journées qui coulaient toutes seules. Si j'avais le temps, je me laisserais bien aller à raconter toutes les rêvasseries que j'ai faites. Je voudrais aussi décrire ma délicieuse vallée, toute embaumée de plantes aromatiques, le beau fouillis si frais et si humide que traversait la Bièvre, le palais des fées aux colonnades de houblon, les collines rocailleuses et rouges de bruyère sur lesquelles on était si bien.
Il y a le roman, et il y a l'histoire. D'avisés critiques ont considéré le roman comme de l'histoire qui aurait pu être, l'histoire comme un roman qui avait eu lieu. Il faut bien reconnaître, en effet, que l'art du romancier souvent emporte la créance, comme l'événement parfois la défie. Hélas ! certains sceptiques esprits nient le fait dès qu'il tranche sur l'ordinaire. Ce n'est pas pour eux que j'écris.
En fait de masturbation, tant qu'on ne peut pas compter sur autrui, il faut compter sur ses doigts.
Madame,
C'est sûr, ma fille n'était pas à l'école hier. Mais, quand on y réfléchit, qu'est ce que 6 heures dans toute une vie? N'y a-t-il pas des choses autrement plus graves en ce monde?...
Sincèrement vôtre.Ce n'est pas moi qui dérange ou qui fait scandale. C'est ce combat, [ Choisir ses maternités ] qui remet en cause et dérange les idées reçues, les tabous religieux et qui donne un éclairage très important sur ce qu'est la condition de la femme.
Peut-on tomber amoureux de l'autre une seconde fois ? Est-ce qu'on ne le connait pas beaucoup trop bien ? Tomber amoureux ne suppose-t-il pas qu'on ne connaisse pas l'autre, qu'il ait encore des plages blanches sur lesquelles on puisse projeter ses propres désirs ?
Comme il y en a beaucoup, le plus grand nombre, qui n'ont pas assisté à mes premiers séminaires, je me permettrai de rappeler ceci que, dans mes premières adresses à ce que je dois bien mon public, j'ai averti que la psychanalyse est un remède contre l'ignorance ; elle est sans effet sur la connerie.
Toutes les erreurs de l'homme viennent de ce qu'il s'imagine marcher sur une chose inerte alors que ses pas s'impriment dans la chair pleine de grande volonté.
La seule crainte, si l’on est en bonne santé, est celle de la faiblesse intellectuelle. Or je me sens en pleine capacité. Plus riche même, de l’expérience. Bien sûr, il y a certaines limites. Autrefois, pour un procès d’assises, comme celui de Bobigny, je pouvais travailler une nuit entière sur un dossier, me doucher, prendre un café et aller plaider. Aujourd’hui, je ne pourrais pas aller au-delà d’une heure du matin. Mais c’est assez minime. Ce n’est pas si désagréable de vieillir si l’on ne coupe pas la vie en étapes, si on ne se dit pas : « Maintenant c’est fini, je suis entrée dans la vieillesse ».
Pourquoi les églises sont-elles fermées la nuit, au moment où l'on en a le plus besoin ? Parfois, je m'endormais sur le sol, devant la porte. A mes ronflements, les pigeons pouvaient deviner que je ne priais pas.
Maman, je n'étais pas là pour recouvrir ton corps et je n'ai plus que des mots pour accomplir ce que tu avais demandé. Et je suis seule avec mes pauvres mots et mes phrases, sur la page du cahier, tissent et retissent le linceul de ton corps absent.
Les donnés biographiques : je fais partie de ceux qui croient, avec Croce, que d’un auteur importent seulement ses œuvres (quand elles comptent, bien évidement), donc les données autobiographiques je n’en donne pas, ou j’en donne de fausses, ou j’essaierai de les changer à chaque fois. Demandez-moi ce que vous voulez savoir, je vais vous le dire. Mais je ne vous dirai jamais la vérité, de ça vous pouvez en être sûr.
Dans l'hebdomadaire l'Express n° 3011, 19 mars 2009. de Claire Bretécher
Références de Claire Bretécher - Biographie de Claire Bretécher
Plus sur cette citation >> Citation de Claire Bretécher (n° 167466) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
Références de Ismaïl Kadaré - Biographie de Ismaïl Kadaré
Plus sur cette citation >> Citation de Ismaïl Kadaré (n° 162017) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures (2013) de Paola Pigani
Références de Paola Pigani - Biographie de Paola Pigani
Plus sur cette citation >> Citation de Paola Pigani (n° 145846) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
Références de Joséphine Baker - Biographie de Joséphine Baker
Plus sur cette citation >> Citation de Joséphine Baker (n° 173345) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Elégies, I de Caius Cornelius Gallus
Références de Caius Cornelius Gallus - Biographie de Caius Cornelius Gallus
Plus sur cette citation >> Citation de Caius Cornelius Gallus (n° 102311) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fourrure (2010) de Adélaïde de Clermont-Tonnerre
Références de Adélaïde de Clermont-Tonnerre - Biographie de Adélaïde de Clermont-Tonnerre
Plus sur cette citation >> Citation de Adélaïde de Clermont-Tonnerre (n° 172264) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
À Suspicious River(1996) de Laura Kasischke
Références de Laura Kasischke - Biographie de Laura Kasischke
Plus sur cette citation >> Citation de Laura Kasischke (n° 163871) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'année de l'amour (1989) de Paul Nizon
Références de Paul Nizon - Biographie de Paul Nizon
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Nizon (n° 163193) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le monde comme il me parle (2013) de Olivier de Kersauson
Références de Olivier de Kersauson - Biographie de Olivier de Kersauson
Plus sur cette citation >> Citation de Olivier de Kersauson (n° 127910) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Références de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Biographie de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Plus sur cette citation >> Citation de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra (n° 159619) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
Références de Gustave Flaubert - Biographie de Gustave Flaubert
Plus sur cette citation >> Citation de Gustave Flaubert (n° 127598) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Geisha (1997) de Arthur Golden
Références de Arthur Golden - Biographie de Arthur Golden
Plus sur cette citation >> Citation de Arthur Golden (n° 154816) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Psychologie des foules (1895) de Gustave Le Bon
Références de Gustave Le Bon - Biographie de Gustave Le Bon
Plus sur cette citation >> Citation de Gustave Le Bon (n° 157965) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pierre Curie par Marie Curie de Pierre Curie
Références de Pierre Curie - Biographie de Pierre Curie
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Curie (n° 153042) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Caves du Vatican (1914) de André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 156661) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de Léo Campion
Références de Léo Campion - Biographie de Léo Campion
Plus sur cette citation >> Citation de Léo Campion (n° 3272) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mots d'excuse - Les parents écrivent aux enseignants (2010), Les absences de Patrice Romain
Références de Patrice Romain - Biographie de Patrice Romain
Plus sur cette citation >> Citation de Patrice Romain (n° 92575) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Gisèle Halimi : La liberté, c'est le choix , Radio France, Mercredi 22 juillet 2015 de Gisèle Halimi
Références de Gisèle Halimi - Biographie de Gisèle Halimi
Plus sur cette citation >> Citation de Gisèle Halimi (n° 169747) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Amours en fuite (2001) de Bernhard Schlink
Références de Bernhard Schlink - Biographie de Bernhard Schlink
Plus sur cette citation >> Citation de Bernhard Schlink (n° 163676) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre de l'École Freudienne N° 15, J. Lacan, Bulletin intérieur de l’École Freudienne de Paris, 1975 de Jacques Lacan
Références de Jacques Lacan - Biographie de Jacques Lacan
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Lacan (n° 172027) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Préface de Colline (1929) de Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giono (n° 50782) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien au Monde, par Josyane Savigneau le 11 mars 2011 de Gisèle Halimi
Références de Gisèle Halimi - Biographie de Gisèle Halimi
Plus sur cette citation >> Citation de Gisèle Halimi (n° 169734) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Au secours pardon (2007) de Frédéric Beigbeder
Références de Frédéric Beigbeder - Biographie de Frédéric Beigbeder
Plus sur cette citation >> Citation de Frédéric Beigbeder (n° 130366) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Femme aux pieds nus (2008) de Scholastique Mukasonga
Références de Scholastique Mukasonga - Biographie de Scholastique Mukasonga
Plus sur cette citation >> Citation de Scholastique Mukasonga (n° 154310) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre à Germana Pescio Bottino, 9 juillet 1964 de Italo Calvino
Références de Italo Calvino - Biographie de Italo Calvino
Plus sur cette citation >> Citation de Italo Calvino (n° 164893) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Sur ses pas
Toutes les citations sur Sur ses pas Citations Sur ses pas Citation Sur ses pas et Proverbe Sur ses pas Proverbes Sur ses pas : 500 citations et proverbes sur Sur ses pas Citation Sur ses pas - Proverbe Sur ses pas - 500 citations Citations, proverbes sur Sur ses pas Citations, proverbes sur Sur ses pas Citations et belles pensées sur Sur ses pas Les plus belles citations sur Sur ses pas Toutes les citations sur Sur ses pas Citation sur sur Citations courtes sur
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
