Citation Une fin
Découvrez une citation Une fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Une fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 720 citations et proverbes sur le thème Une fin.
720 citations
Entre nous et certains parents,
Qui nous vantent leur alliance,
Afin de vivre bons amis,
Il faut laisser toujours une honnête distance.... comme une grande musique qu'on peut réécouter sans fin, les grands romans eux aussi sont faits pour des lectures répétées ...
Diabètes: Pour écrire une pièce, le truc est de commencer par la fin. Trouver une bonne fin, puis écrire à l'envers. - Hépatitis: J'ai essayé ça une fois. Maintenant j'ai une pièce sans commencement!
Une montagne fut quelque fois en travail d'enfant, et puis enfin elle s'accoucha d'une souris.
Les papilles du palais, convenablement excitées, s'imprégnaient d'une gorgée de ce nectar; la langue la promenait autour des badigoinces et l'envoyait enfin au gosier avec un clappement approbatif.
« Certains parlent d'un « bidonville », d'autres d'un « camp », d'autres encore de « la lande », mais c'est bien d'une jungle qu'il s'agit. Un lieu de misère, de danger, d'abandon et de drames où survivent et s'entassent dans la promiscuité la plus totale plusieurs milliers d'hommes, de femmes et d'enfants. Un lieu de colère aussi. Celle d'un mouvement raciste local de plus en plus activiste. Celle des commerçants et des entreprises qui attribuent à la présence étrangère une baisse de leur chiffre d'affaires. Celle des bénévoles de la ville et des associations qui ne supportent plus de voir au milieu des ordures et des rats ceux auprès desquels ils s'engagent quotidiennement. Et enfin, la colère des migrants eux-mêmes qui, se retrouvent par une force armée à 30 km de l'Angleterre, cet eldorado fantasmé qui leur a donné le courage de tout endurer.
Aujourd'hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l'Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d'un mythe encore plus ravageur : celui de l'Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes. L'Algérie française a duré cent trente ans. L'arabo-islamisme dure depuis treize siècles ! L'aliénation la plus profonde, ce n'est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n'y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité !
J'arrivais enfin à rattraper la baleine, je lançais vivement un harpon par l'avant, bien aiguisé et solide (après avoir bien fait amarrer et vérifier le câble), le harpon parfait, entrait profondément dans la chair, faisant une blessure énorme.
On constate la duplication sans fin d'une effigie singulière, que le temps perpétue et propage. Chaque génération de tigres vient au jour avec les mêmes rayures jaunes et noires.
La plupart des choses qui ont de l'importance dans notre vie se passent en notre absence : mais il me semble que j'ai trouvé quelque part le truc pour tout savoir afin que tout soit dans ma tête, jusqu'au moindre détail, comme le brouillard semble se déverser dans l'air du matin... tout et pas seulement les quelques indications qui permettent d'avancer, comme par exemple ouvrir une vieille malle couverte de toiles d'araignées et bien close.
Je comprends très bien que dans notre société de traces, contrôlée jusqu'à l'obscène, où le moindre vêtement, la moindre semelle de chaussure, le moindre doudou, une trottinette rouillée, je sais pas : un banc public, les pavés même, émettent de l'information… où le moindre mot lancé dans un bar est collexiqué ! Je comprends tellement que ce monde rêve d'un envers ! De quelque chose qui lui échapperait enfin, irrémédiablement, qui serait comme son anti-matière, le noir de sa lumière épuisante ! L'abracadata qui échapperait par magie à tous les datas ! J
Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
J'étais dans une apesanteur de fin d'histoire d'amour, la brusque suspension des sentiments, une sorte de vertige que donnent le détachement, la distance, une appréhension différente du temps.
Thomas Browne est frappé par l'impermanence de toutes choses en rapport avec un processus sans fin de transformation revenant à manger et à être mangé. Sur chaque forme nouvelle plane l'ombre de la destruction. Car l'histoire de chaque individu, celle de chaque communauté et celle de l'humanité entière ne se déploie pas selon une belle courbe perpétuellement ascendante mais suit une voie qui plonge dans l'obscurité après que le méridien a été franchi.
Elle avait cette grâce fugitive de l'allure qui marque la plus délicate des transitions, l'adolescence, les deux crépuxcules mêlés, le commencement d'une femme dans la fin d'un enfant.
S'il y a une vie après la mort, faudrait pas qu'à la fin de l'autre vie, on remeure.
Non, nous ne resterons pas dans l'ignorance au sujet des morts. L'histoire de la photographie a commencé par l'inerte, quand le soleil devait achever la course dans le ciel au-dessus de la propriété de Nicéphore Niépce avant que s'impriment enfin sur une plaque de métal l'étrange image de murs éclairés de tous les côtés à la fois et la silhouette noire d'un arbre fruitier figé dans la lumière.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Pour un esprit équilibré, la mort n'est qu'une grande aventure de plus. [...] C'est comme d'aller se coucher à la fin d'une très très longue journée.
C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
L'Ecureuil et le Renard de Jean-Louis Grenus
Références de Jean-Louis Grenus - Biographie de Jean-Louis Grenus
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Louis Grenus (n° 91512) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les testaments trahis de Milan Kundera
Références de Milan Kundera - Biographie de Milan Kundera
Plus sur cette citation >> Citation de Milan Kundera (n° 22385) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Opus 1 et 2, Dieu, Shakespeare... et moi (1975) de Woody Allen
Références de Woody Allen - Biographie de Woody Allen
Plus sur cette citation >> Citation de Woody Allen (n° 17223) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Agésilas, 63 de Jacques Amyot
Références de Jacques Amyot - Biographie de Jacques Amyot
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Amyot (n° 37008) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Capitaine Fracasse (1863), XII, Le radis couronné de Théophile Gautier
Références de Théophile Gautier - Biographie de Théophile Gautier
Plus sur cette citation >> Citation de Théophile Gautier (n° 67741) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Bienvenue à Calais : Les raisons de la colère (2016) de Marie-Françoise Colombani
Références de Marie-Françoise Colombani - Biographie de Marie-Françoise Colombani
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Françoise Colombani (n° 172393) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pourquoi je ne suis pas musulman (1989), Ibn Warraq, éd. Age de l'Homme, 1999 de Yacine Kateb
Références de Yacine Kateb - Biographie de Yacine Kateb
Plus sur cette citation >> Citation de Yacine Kateb (n° 161874) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Nuit remue (1935) de Henri Michaux
Références de Henri Michaux - Biographie de Henri Michaux
Plus sur cette citation >> Citation de Henri Michaux (n° 86041) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Esthétique généralisée (1962) de Roger Caillois
Références de Roger Caillois - Biographie de Roger Caillois
Plus sur cette citation >> Citation de Roger Caillois (n° 79771) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Enfants de minuit (1981) de Salman Rushdie
Références de Salman Rushdie - Biographie de Salman Rushdie
Plus sur cette citation >> Citation de Salman Rushdie (n° 162514) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Furtifs (2019) de Alain Raymond, dit Alain Damasio
Références de Alain Raymond, dit Alain Damasio - Biographie de Alain Raymond, dit Alain Damasio
Plus sur cette citation >> Citation de Alain Raymond, dit Alain Damasio (n° 166488) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
Références de Jean d'Ormesson - Biographie de Jean d'Ormesson
Plus sur cette citation >> Citation de Jean d'Ormesson (n° 173930) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un lac immense et blanc (2011) de Michèle Lesbre
Références de Michèle Lesbre - Biographie de Michèle Lesbre
Plus sur cette citation >> Citation de Michèle Lesbre (n° 127148) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Anneaux de Saturne (1995) de W. G. Sebald
Références de W. G. Sebald - Biographie de W. G. Sebald
Plus sur cette citation >> Citation de W. G. Sebald (n° 164029) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les travailleurs de la mer (1866) de Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 61857) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le grand Café des Brèves de comptoir (2013) de Jean-Marie Gourio
Références de Jean-Marie Gourio - Biographie de Jean-Marie Gourio
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Marie Gourio (n° 128134) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
À son image de Jérôme Ferrari
Références de Jérôme Ferrari - Biographie de Jérôme Ferrari
Plus sur cette citation >> Citation de Jérôme Ferrari (n° 155284) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Harry Potter à l'école des sorciers (1997) de J. K. Rowling
Références de J. K. Rowling - Biographie de J. K. Rowling
Plus sur cette citation >> Citation de J. K. Rowling (n° 167271) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
Références de Anatole France - Biographie de Anatole France
Plus sur cette citation >> Citation de Anatole France (n° 175018) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Une fin
Toutes les citations sur Une fin Citations Une fin Citation Une fin et Proverbe Une fin Proverbes Une fin : 720 citations et proverbes sur Une fin Citation Une fin - Proverbe Une fin - 720 citations Citations, proverbes sur Une fin Citations, proverbes sur Une fin Citations et belles pensées sur Une fin Les plus belles citations sur Une fin Toutes les citations sur Une fin Les plus belles citations et pensées sur Une fin Citation sur une Citations courtes une
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
