Citation ferme ee
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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème ferme ee.
70 citations
Si légère que je craignais que le moindre souffle t'emporte
Et que je fermais bien mes bras de peur que ton âme n'en sorte
Tu ne m'as pas quitté mon âme et mes bras ô ma bien-aimée
Sont demeurés autour de toi fermés comme un anneau ferméElle est mignonne, cette petite, mais tu ne lui dois rien. Il faut que tu te montres plus ferme. Achète-lui une jolie poupée et dis lui au revoir avant qu'elle ne s'imagine que tu vas la garder avec toi jusqu'à la fin de tes jours.
C’est une drôle d’affaire, la pensée, n’est-ce pas ? Ce n’est pas qu’il y ait long en distance du cerveau vers les lèvres mais quelquefois quand même ça peut vous paraître des kilomètres, que le trajet pour une phrase, ce serait comme traverser un territoire en guerre avec un sac de cailloux sur l’épaule, au point qu’à un moment la pensée pourtant ferme et solide et ruminée cent fois, elle préfère se retrancher comme derrière des sacs de sable.
Il reste que rien de tout cela n’est facile. Malgré vos masques et vos sachets, le vinaigre et la toile cirée, malgré la placidité de votre courage et votre ferme effort, un jour viendra où vous ne pourrez supporter cette ville d’agonisants, cette foule qui tourne en rond dans des rues surchauffées et poussiéreuses, ces cris, cette alarme sans avenir. Un jour viendra où vous voudrez crier votre dégoût devant la peur et la douleur de tous. Ce jour-là, il n’y aura plus de remède que je puisse vous dire, sinon la compassion qui est la sœur de l’ignorance.
La solitude se présente sous deux formes. Quand elle est désirée, c'est une porte que l'on ferme sur le monde. Mais quand c'est le monde qui nous rejette, la solitude, alors, devient une porte ouverte, inutilisée.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Dans cinq, six ans, peut-être avant, cela ne dépend que des crédits disponibles, tout le visage du monde deviendra, non plus ce qui plaît à l'homme, mais ce qui plaît à une machine nommée automobile. Il faut voir déjà les parcs automobiles américains autour des stades. Dix mille automobiles bien rangées ont enfermé leurs quarante mille esclaves dans une cuve de ciment armée pour les faire hygiéniquement se démener et crier pendant deux heures avant de reprendre le collier, non, le volant de la misère. C'est une préfiguration modeste de l'avenir.
Le romancier est par nature égoïste. La maternité élimine l’égoïsme par les voies naturelles. Le romancier est tourné vers lui-même. Quant à la maternité, elle est on ne peut plus tournée vers l’extérieur. Le romancier se construit une petite pièce privée dans son cerveau et, pour que personne ne puisse y pénétrer, il en ferme un à un tous les verrous. Il y range ses secrets, ses désirs. Loin des regards.
Je présente ce livre au public avec la ferme conviction que tôt ou tard il rencontrera ceux pour qui seuls il est fait ; au surplus, je me repose tranquillement sur cette pensée, qu'il aura lui aussi la destinée réservée à toute vérité, à quelque ordre de savoir qu'elle se rapporte, et fût-ce au plus important : pour elle un triomphe d'un instant sépare seul le long espace de temps où elle fut taxée de paradoxe, de celui où elle sera rabaissée au rang des banalités.
Je me suis déradicalisée seule... Je ne crois pas aux conneries de centres. On nous enferme comme des malades, des fous. Mais on ne peut pas retirer le mal comme on enlève une tumeur. Déradicaliser, c'est un mot inventé pour rassurer le peuple, pour vous rassurer tous. Histoire de dire : "Ne vous en faites pas, on est en train de les remettre dans le droit chemin !" Du vent. J'ai préféré me soigner moi-même.
La vie d’un tout jeune enfant est littéralement cernée par la peur, elle circonscrit l’espace qu’il habite. Elle surgit lorsqu’à la limite de son champ de vision, hors de sa portée, les silhouettes familières dont il ne prévoit pas le retour disparaissent derrière la porte qui se referme, ou lorsqu’il croit qu’au fond des ténèbres s’ouvre un vide immense.
Ce qu'il y a de plus pitoyable au monde, c'est, je crois, l'incapacité de l'esprit humain à relier tout ce qu'il renferme. Nous vivons sur une île placide d'ignorance,environnée de noirs océans d'infinitude que nous n'avons pas été destinés à parcourir bien loin. Les sciences, chacune s'évertuant dans sa propre direction, nous ont jusqu'à présent peu nui. Un jour, cependant, la coordination des connaissances éparses nous ouvrira des perspectives si terrifiantes sur le réel et sur l'effroyable position que nous y occupons qu'il ne nous restera plus qu'à sombrer dans la folie devant cette révélation ou à fuir cette lumière mortelle pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel obscurantisme.
L’âme pacifiée reste la plus ferme. Vous serez fermes, face à cette étrange tyrannie. Vous ne servirez pas cette religion aussi vieille que les cultes les plus anciens. Elle tua Périclès (stratège, orateur, homme d’État athénien), alors qu’il ne voulait d’autre gloire que de n’avoir fait prendre le deuil à aucun citoyen, et elle n’a pas cessé, depuis ce meurtre illustre jusqu’au jour où elle vint s’abattre sur notre ville innocente, de décimer les hommes et d’exiger le sacrifice des enfants. Quand même cette religion nous viendrait du ciel, il faudrait dire alors que le ciel est injuste. Si vous en arrivez là, vous n’en tirerez cependant aucun orgueil. Il vous revient au contraire de songer souvent à votre ignorance, pour être assurés d’observer la mesure, seule maîtresse des fléaux.
La décision de ne plus considérer le français comme langue diplomatique de référence, au moment du traité de Versailles, nous avait bien montré la disparition de sa prédominance, mais nous avions le ferme espoir, en ce temps-là, que notre pensée et son expression bénéficieraient d'une nouvelle faveur grâce à nos gloires militaires et au triomphe des idées démocratiques et de la volonté du progrès social.
Pour t'attacher un ami, vends, s'il le faut, jusqu'au jardin de ton père ; ne crains pas de brûler les meubles de ta maison ; fais du bien même à ton ennemi, et ferme avec une bouchée de pain la gueule du chien qui veut te mordre.
Sans trop savoir comment, j’ai réussi à traverser l’autoroute et escalader le talus pour rejoindre le Ramada Inn avant de me rendre compte que les obstacles les plus sérieux m’attendaient. Ike me menaçait sans relâche : « Si tu pars, ce sera comme tu es venue. » Autrement dit : sans rien. Il avait raison. Dans ma poche, il y avait trente-six cents et une carte de crédit Mobil qui ne permettait d’acheter que de l’essence. J’avais le visage tuméfié, les vêtements souillés et ensanglantés… et j’étais noire. A Dallas. Dans de telles circonstances, n’importe quel hôtelier sensé me dirait de passer mon chemin. Je me suis approchée du comptoir de la réception et je me suis présentée au directeur. J’ai décliné mon identité, puis j’ai expliqué que je venais de fuir mon mari sans le moindre argent. Mais j’ai juré que je le rembourserais s’il me laissait occuper une chambre pour la nuit. J’ai bien songé que, dans mon état de vulnérabilité, cet inconnu aurait pu profiter de moi. J’étais trop épuisée pour m’en soucier. Par chance, il avait du coeur. Il m’a conduite à l’étage, dans une suite et m’a promis de me faire apporter de la soupe et des crackers. Quand j’ai refermé la porte, le contrecoup a frappé si fort que mes genoux se sont dérobés. J’ai failli m’évanouir. Mon coeur battait à tout rompre. J’étais terrifiée, mais aussi fébrile. Je fuyais Ike, mais je courais vers ma nouvelle vie.
Et voici que le soir se referme une fois de plus, replie son aile rose et dorée pour le sommeil.
Je suis né gentilhomme. Selon moi, j'ai profité du hasard de mon berceau, j'ai gardé cet amour plus ferme de la liberté qui appartient principalement à l'aristocratie dont la dernière heure est sonnée.
... une pensée qui ne renferme pas une légère contradiction n'est pas tout à fait convaincante.
La différence peut-être la plus marquée entre la prosodie de la langue française et celle des langue grecque et latine, différence que l'abbé d'Olivet paraît n'avoir pas assez connue, c'est la quantité de syllabes communes que renferme la première.
Quand une jeune fille, dans une ferme, laisse couler à travers sa chambre l'eau d'une source voisine et que son fiancé vient s'accouder à la barre arquée de sa fenêtre, ils partent eux aussi pour ne plus se retrouver.
La sottise alliée à la méchanceté, la méchanceté et la sottise à la vulgarité, cela se trouve quelquefois dans une seule personne, et c'est ce que le monde renferme de pire.
La Mollesse, oppressée, - Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée, - Et, lasse de parler, succombant sous l'effort, - Soupire, étend les bras, ferme l'oeil et s'endort.
N'ayant rien vu qui ressemblât à un étang, et craignant d'être sur la mauvaise route, il s'arrêta et regarda autour de lui. Dans l'océan de ténèbres, il put distinguer une ferme isolée et un rideau d'arbres, dominés par la sombre montagne.
Elsa de Louis Aragon
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Le Cercle Litteraire des Amateurs d'Epluchures de Patates (2008) (Avec Annie Barrows) de Mary Ann Shaffer
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Article 353 du code pénal (2017) de Tanguy Viel
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Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
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L'Ami Odd Thomas (2005) de Dean Koontz
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Les Terrasses de l'Ile d'Elbe (1976) de Jean Giono
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Lait noir (2009) de Elif Shafak
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Préface de la première édition de Le Monde comme volonté et comme représentation de Arthur Schopenhauer
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Dans son cœur sommeille la vengeance (2018) de Sonia Mabrouk
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Une enfance de rêve (2014) de Catherine Millet
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
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L'honneur de vivre: témoignage (1974) de Robert Debré
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Le Jardin des Roses, I de Musluh al-Din Saadi
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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Notes du ravin (2001) de Philippe Jaccottet
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Mémoires d'outre-tombe (1848), Partie 1 de François-René de Chateaubriand
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L'homme à la découverte de son âme de Carl Gustav Jung
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Eloges, d'Olivet de Jean le Rond d'Alembert
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L'Année des chapeaux rouges (1922) de André Breton
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De la Nature humaine (1868) de Charles Dollfus
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Le lutrin (1673-1683) de Nicolas Boileau-Despréaux
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Musashi, La Parfaite Lumière (2000) de Eiji Yoshikawa
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