Citation jamais beaucoup
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Une Sélection de 110 citations et proverbes sur le thème jamais beaucoup.
110 citations
Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Dans le système de la liberté naturelle , le souverain n'a que trois devoirs à remplir; trois devoirs d'une haute importance, mais clairs, simples et à la portée d'une intelligence ordinaire. Le premier, c'est le devoir de défendre la société de tout acte de violence ou d'invasion de la part des autres sociétés indépendantes. Le deuxième, c'est le devoir de protéger autant qu'il est possible chaque membre de la société contre l'injustice ou l'oppression de tout autre membre, ou bien le devoir d'établir une administration exacte de la justice. Et le troisième, c'est le devoir d'ériger et d'entretenir certains ouvrages publics et certaines institutions que l'intérêt privé d'un particulier ou de quelques particuliers ne pourrait jamais les porter à ériger ou à entretenir, parce que jamais le profit n'en rembourserait la dépense à un particulier ou à quelques particuliers, quoiqu'à l'égard d'une grande société ce profit fasse beaucoup plus que rembourser les dépenses.
Toute science est une connaissance certaine et évidente; et celui qui doute de beaucoup de choses n'est pas plus savant que celui qui n'y a jamais pensé.
Je me suis toujours tenu à distance du politique. Je m’en suis toujours méfié et je refuse les zones opaques en politique. Je viens d’adhérer au Parti breton, parce que je pense qu’il est nécessaire de faire entendre sa voix. Ce parti me semble éviter les « ismes.» J’ai beaucoup discuté avec des amis déjà au Parti breton avant d’adhérer moi-même, car je voulais savoir dans quoi je m’engageais. Connaissant l’histoire politique de la Bretagne, je préférai faire quelque chose axé vers le développement et l’avenir. Au Parti breton, j’ai trouvé des gens réalistes qui permettent l’échange, le dialogue sans extrémisme pour construire avec du sens et du bon sens. Moi je veux marcher avec mes semblables pour donner du sens. La Bretagne doit s’ouvrir et devenir un pôle tourné vers l’avenir. On ne transforme pas les choses par la violence, les frontières tomberont d’elles même le jour où les gens seront heureux. Ma devise, celle de ma famille : ne jamais renoncer. C’est aussi, un peu, celle de tous les Bretons.
Tu changes de ville, de chambre, de visage, de ville, d'amour, mais même quand tu te dépouilles de tout, il reste toujours quelque chose de permanent, qui réside en toi depuis que tu es doué de mémoire et depuis bien avant que tu aies atteint l'âge de raison, le noyau ou la moelle de ce que tu es, de ce qui jamais ne s'est éteint, non pas une conviction ni un désir, mais un sentiment, parfois amorti comme la braise du feu de la veille cachée sous les cendres, mais presque toujours très vif, qui palpite dans tes actions et qui colore les choses d'un éloignement durable dans le temps; tu as le sentiment d'être déraciné, étranger, de ne jamais être tout à fait nulle part, de ne pas partager les certitudes d'appartenance qui pour d'autres semblent si naturelles ou faciles, ni l'assurance avec laquelle beaucoup d'entre eux s'accommodent ou possèdent, ou bien tiennent pour acquises la solidité du sol où ils marchent, la fermeté de leurs idées, la durée future de leur vie.
On a beaucoup parlé de la face de Dieu, jamais de son profil.
Sans référence de Il avait l'impression qu'on n'avait jamais beaucoup de marge de manœuvre avec les femmes. On leur avait à peine lancé un regard que déjà on en était à se disputer avec elles et qu'elles vous dictaient ce qui allait se passer.
On ne déraisonne jamais mieux que lorsqu'on a beaucoup de raison à perdre; comme on ne se ruine jamais mieux que lorsqu'on a beaucoup de fortune.
Voici pour moi la règle essentielle: vieux, plus que jamais tout se vaut qui nous occupe, chassant ce qui nous préoccupe. Sauf l'amour, qui l'emporte de beaucoup sur le reste, car aimer c'est se préférer dans un autre.
La première fois que je vis danser Joséphine, sur la piste du casino de La Rochelle, je découvris qu'elle dansait beaucoup moins comme une noctambule que comme un petit enfant. Plus précisément comme un enfant qui danserait seul, dans une demi-obscurité, pour lui-même et non pour qu'on le voie, un soir de noces, après que les adultes ont déserté la piste. Jamais peut-être je ne l'ai vue aussi belle, aussi déchirante, si légère, et comme embarrassée de cette légèreté - comme si même cette légèreté était encore trop lourde à porter - qu'elle donnait en même temps l'impression d'être près de tomber et de ne tenir à la terre que par un fil.
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
Où pleurent les gens? C'est la question que je me pose souvent, bizarre qu'on croise jamais dans la rue des gens en train de chialer. Ils téléphonent beaucoup plus qu'ils pleurent, peut-être qu'on se détesterait moins si on chialait plus.
Ci-gît qui toujours babilla,
Sans avoir jamais rien à dire;
Dans tous les livres farfouilla,
Sans avoir jamais pu s'instruire,
Et beaucoup d'écrits barbouilla,
Sans qu'on ait jamais pu les lire.On a toujours l’impression, quand on demande aux gens de se servir de leur raison, qu’on va faire du tort à quelque chose de beaucoup plus essentiel à quoi il ne faudrait pas toucher : l’imagination, la spontanéité, l’émotivité, la passion, le sentiment, etc. Les droits de l’affectivité semblent devenus imprescriptibles et les défenseurs de la raison passent presque toujours pour naïfs ou pour autoritaires et répressifs. Je n’ai, pour ma part jamais réussi à percevoir la logique ou la raison comme répressives.
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
La dernière chose que je sortis du sac fut Sigmund, mon pingouin en peluche - et le compagnon de toutes mes nuits depuis six mois. Il ne ronfle pas, ne monopolise pas les couvertures et me laisse lui faire autant de câlins que je veux sans jamais protester. C'est plus qu'on ne peut en dire de beaucoup d'homme.
Ne jamais perdre le contact avec les menues réalités quotidiennes, c'est là un principe qui permet de beaucoup endurer.
Pour beaucoup de femmes, le plaisir est toujours le plaisir, et n'est jamais que cela; et auprès de celles-là, de quelque titre qu'on nous décore, nous ne sommes jamais que des facteurs.
Heureusement qu'il y a des putes, sinon beaucoup n'auraient jamais couché!
Il avait fixé bien des yeux de femmes dans sa vie et beaucoup de ces yeux ardents, pudiques,troublants, délicats, rusés ou fiers, l'avaient aussi fixé, mais jamais de tels yeux. Ils étaient à la fois distants et proches, compréhensibles et énigmatiques, insensibles et compatissants. Ce regard, en même temps qu'il éveillait le désir, avait quelque chose qui vous éteignait, vous transportait au loin, au-delà de la vie, au-delà de la tombe, d'où l'on pouvait se regarder avec sérénité.
Qu'est-ce qui fait que parfois nous disons que nous sommes juifs, argentins, polonais, français, anglais, avocats, médecins, professeurs, chanteurs de tango ou joueurs de football ? Qu'est-ce qui fait que parfois nous parlons de nous-mêmes en étant si certains que nous ne sommes qu'une seule chose, une chose simple, figée, immuable, une chose que nous pouvons connaître et définir par un seul mot ? » Depuis qu'il était parti de Pologne, comme tant d'exilés, Vicente se posait souvent ces questions. Et s'il trouvait parfois des réponses à ce problème – beaucoup de réponses, trop de réponses ! –, jamais il n'arrivait à regarder l'une d'elles comme une véritable solution.
Les justiciers était la fleur d'un clan, sa moelle et sa mémoire principale. Beaucoup de choses s'oubliaient dans la vie du clan, des hommes et des événements se couvraient de poussière, seuls les justiciers, les petites flammes inextinguibles sur les tumulus du clan, ne s'effaçaient jamais de la mémoire.
Il faut avoir beaucoup d'imagination, madame, pour dire la vérité, car on ne la connaît jamais tout entière!
On ne sait jamais où trouver les hommes. Le vent les promène. Ils manquent de racines, ça les gêne beaucoup.
On ne sait jamais quand on naît : l'accouchement est une simple convention. Beaucoup de gens meurent sans être jamais nés ; d'autres naissent à peine, d'autres mal, comme avortés. Certains, par naissances successives, passent de vie en vie, et si la mort ne venait pas les interrompre, ils seraient capables d'épuiser le bouquet des mondes possibles à force de naître sans relâche, comme s'ils possédaient une réserve inépuisable d'innocence et d'abandon.
Promenades en bord de mer et étonnements heureux (2016) de Olivier de Kersauson
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Essai sur la Richesse , Gallimard 1976, p352 de Adam Smith
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Les Règles pour la direction de l'esprit (1628) de René Descartes
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Entretien publié en janvier 2012 sur 7seizh.info de Jean-Yves Lafesse
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Séfarade (2005) de Antonio Muñoz Molina
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Jean-Claude Brisville
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Lonesome Dove (1990) de Larry McMurtry
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Maximes et Pensées de Antoine Rivaroli, dit Rivarol
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Rien n'est jamais fini (1977) de Maurice Chapelan
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Joséphine (2010) de Jean Rolin
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Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
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Bord de mer (2001) de Véronique Olmi
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Poésies mêlées, V, Epitaphe (1712) (Laplace dit qu'elle a été faite pour un M. de Sardières.) de Voltaire
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Le Philosophe et le Réel (entretiens avec Jean-Jacques Rosat, Hachette Littératures, 1998) de Jacques Bouveresse
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Anita Blake, 9. Papillon d'obsidienne (2006) de Laurell Kaye Hamilton
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Mrs. Parkington (1943) de Louis Bromfield
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Les Liaisons dangereuses (1782) de Pierre Choderlos de Laclos
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Pensées, répliques et anecdotes (2006) de Michel Galabru
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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Le Ghetto intérieur (2019) de Santiago Amigorena
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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Toâ de Sacha Guitry
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Sans référence de Antoine de Saint-Exupéry
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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