Citation le temps au temps
Découvrez une citation le temps au temps - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase le temps au temps issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 920 citations et proverbes sur le thème le temps au temps.
920 citations
Souvent, dans ces hautes terres où la solitude a rouillé l'herbe, on rencontre un ruisseau, naissance de ces torrents qui, plus bas, hennissent de roc en roc, cabrent des ventres blancs et secouent de longues crinières humides. Ici, sans bruits, comme une étincelante couleuvre, il coule, sans mouvement dirait-on, dans un lit de petits joncs nerveux. De ses abords, où se sont épaissies les bardanes, les mauves et les menthes, se lève soudain un mouton qui dormait. On découvre alors, près d'un rocher gris, une cabane de bois gris, un âne gris, un homme gris, qui depuis longtemps déjà vous regardait, mais n'a pas fait un pas vers vous. Et il ne vous parlera guère, ou par oui et par non, ou peut-être, si vous lui demandez aide, par le don silencieux d'une tranche de pain et d'un verre de lait. Il connaît tellement les chemins de par ici qu'il ne peut vous être d'aucune aide pour vous guider. il sait qu'il ne peut parler que de choses qui vous sont totalement inconnues. Il n'essaie pas.
Je suis de tradition grecque, comme tous les philosophes ; mais on oublie trop souvent qu'il y a au moins deux traditions, celle de Platon et celle d'Aristote. J'ai longtemps été, en raison de mon intérêt pour les mathématiques, pleinement platonicien. Il m'a fallu un certain âge pour « découvrir » la pensée d'Aristote. Je suis maintenant devenu plutôt aristotélicien… Il suffit de lire les Allemands pour se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes aristotéliciens, pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas eu nos Lumières ni la Révolution française, qui a supprimé chez nous la tradition aristotélicienne pour ne garder que la tradition platonicienne. La tradition aristotélicienne étant associée au Moyen Âge, à la scolastique, au christianisme… D'une certaine manière, Heidegger, c'est du Aristote… Du Aristote traduit en Allemand.
La nuit était très douce et très tranquille, et tout en rangeant mes lunettes en lieu sûr et m'installant pour dormir, je me demandai avec tristesse pourquoi il ne m'était jamais venu à l'idée de venir passer la nuit dehors par ici au temps où j'étais heureux. C'était si près de l'eau, qui clapotait doucement sur le rocher juste en dessous que j'avais l'impression d'être dans un bateau. Et comme mon lit de rocher s'inclinait en pente douce vers la mer, je pouvais, tout en restant allongé la tête sur un coussin, contempler droit devant moi l'horizon où la lune traçait une trouée d'argent presque immobile. L'éclat des premières étoiles s'aiguisait déjà. D'autres apparaissaient, de plus en plus nombreuses. Couché sur le dos, enroulé dans ma couverture, les mains croisées devant moi je fis une prière...
La haine est la plus scélérate des concubines : elle drape ton lit d'orties, bourre tes oreillers d'insomnies, profite de ta somnolence pour s'emparer de ton esprit ; le temps de te ressaisir, et déjà tu es au purgatoire.
Nous pouvons nous dire que le Covid-19 est un accident isolé, une disgrâce ou un fléau, crier que c’est entièrement leur faute. Rien ne nous en empêche. Ou alors, nous pouvons nous efforcer d’attribuer un sens à la contagion. Faire un meilleur usage de ce laps de temps, nous en servir pour méditer ce que la normalité nous empêche de méditer : comment nous en sommes arrivés là, comment nous aimerions reprendre le cours de notre vie. Compter les jours. Appliquer notre cœur à la sagesse. Ne pas permettre que toute cette souffrance passe en vain.
L'air de rien, la « modernité », si l'on y réfléchit, est le mot-clé de l'idéologie de la gauche. Elle accule l'humain à ne se percevoir dans le temps présent qu'en référence à un avenir indéterminé, en effaçant le passé, simple et composé, sans lequel l'individu titube comme un ivrogne sur le fil de l'instant. La « modernité » est l'alibi générique du nihilisme contemporain. Elle a supplanté ces couples historiques — le Bien et le Mal, le Juste et l'Injuste, le Beau et le Laid — par ce binôme imbécile : le branché et le ringard.
Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson;
Et comme le soleil, de saison en saison,
Je veux achever mon année.Elle lui avait redonné le goût de vivre. Grâce à elle l'accablement et la douleur s'étaient peu à peu dissipés, comme fond la glace au dégel du printemps.
Le tueur en série choisit ses victimes au cas par cas, chacun a une identité pour lui et il assouvit sur elle ses fantasmes. Le tueur de masse exprime une colère, il envoie un message sans individualiser ses proies et son but est supprimer un maximum de gens en un minimum de temps.
C'est pour pouvoir enfin botter les fesses
A ces vieillards qui nous ont dit
Que nos vingt ans que notre jeunesse
Etaient le plus beau temps de la vie.Moi, il a fallu que j'attende l'âge de trente-deux ans pour que mon père me donne son dernier coup de pied au derrière. Voilà ce qu'était la famille de mon temps. Et il y avait du respect et de la tendresse.
Il faut se battre pour le bonheur des autres. Ce n’est pas du tout acquis. Il faut avancer. Nous sommes en pleine régression. Nous retournons au Moyen Âge, aux guerres de Religion qui sont extrêmement dangereuses et qui font que s’est installée la méfiance, le rejet en même temps que la peur de l’autre. On vit un moment très étrange. Pourquoi vouloir s’imposer par la violence et la terreur. Il y a la parole ! On devrait parler « avec » tout le monde, échanger, proposer, tendre la main.
Hirondelle volant haut - Le temps sera beau.
Barcelone, le Bayern de Guardiola et l'équipe d'Espagne pratiquent quant à elles un jeu qui ne tolère aucun temps mort. C'est un jeu en réseau, qui symbolise bien le XXIe siècle : les joueurs sont comme connectés, la balle circule à toute vitesse, constamment.
Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule. Partez, plongez. Après avoir laissé le rivage, vous demeurez quelque temps beaucoup plus près de lui que de l'autre, en face, au moins assez pour que le corps s'adonne au calcul et se dise silencieusement qu'il peut toujours revenir. Jusqu'à un certain seuil, vous gardez cette sécurité : autant dire que vous n'avez rien quitté. De l'autre côté de l'aventure, le pied espère en l'approche, dès qu'il a franchi un second seuil : vous vous trouvez assez voisin de la berge pour vous dire arrivé. Rive droite ou côté gauche, qu'importe dans les deux cas : terre ou sol. Vous ne nagez pas, vous attendez de marcher, comme quelqu'un qui saute décolle et se reçoit, mais ne demeure pas dans le vol.
Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n'interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu'il arrive ! Que Jupiter t'accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s'enfuit.
Cueille le jour, et ne crois pas au lendemainTous ces ordinateurs, cette technologie, et ces affaires résolues de plus en plus grâce aux machines ou aux fichiers... Il n'y comprenait plus grand-chose. Ça lui fichait le cafard. Quand il voyait tous ces jeunes, autour de lui, des gamins d'à peine la moitié de son âge, lui aussi se sentait obsolète, pareil au vieux Minitel remisé au fond du placard. En même temps, il plaignait ces mômes qui bientôt ne goûterait plus le sel de la traque comme lui l'avait connu dans ses jeunes années. Des flics version 2.0.
Je t'ai prise contre ma poitrine comme une colombe qu'une petite fille étouffe sans le savoir. Je t'ai prise avec toute ta beauté ta beauté plus riche que tous les placers de la Californie ne le furent au temps de la fièvre de l'or.
Au théâtre, la puissance d'une oeuvre condamnée à disparaitre se mesure au souvenir qu'on en garde, à la faculté qu'elle a de grandir en nous, de résister au temps et de s'accomplir en douceur dans le regret.
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
Depuis le temps que le gouvernement s'attaque au chômage avec les résultats que l'on sait, il devrait essayer de s'attaquer à l'emploi.
Pour amener les travailleurs au statut de producteurs et consommateurs «libres» du temps-marchandise, la condition préalable a été l'expropriation violente de leur temps.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Et que ce soit le jour suivant ce n'est après tout qu'on détail
Si l'amour chaque jour grandit c'est au côté comme une entaille
Et qu'est-ce que c'est que l'amour qui n'en est qu'au commencement
Quand on a tout le temps de voir tes yeux s'ouvrir immensémentLe temps a fait succéder dans la galanterie le piquant du scandale au piquant du mystère.
Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
Références de Jean Giono - Biographie de Jean Giono
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Giono (n° 157860) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une intensité de lumière, entretien avec Michel Serres , Cahier Simone Weil, Cahier dirigé par Emmanuel Gabellieri et François l'Yvonnet, éd. Éditions de l'Herne, 2014 de Michel Serres
Références de Michel Serres - Biographie de Michel Serres
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Serres (n° 161018) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Mer, la mer (The Sea, The Sea, 1978) de Iris Murdoch
Références de Iris Murdoch - Biographie de Iris Murdoch
Plus sur cette citation >> Citation de Iris Murdoch (n° 162476) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ecrivain (2001) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Références de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Biographie de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
Plus sur cette citation >> Citation de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra (n° 136102) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Contagions (2020) de Paolo Giordano
Références de Paolo Giordano - Biographie de Paolo Giordano
Plus sur cette citation >> Citation de Paolo Giordano (n° 168271) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Âme française (2016) de Denis Tillinac
Références de Denis Tillinac - Biographie de Denis Tillinac
Plus sur cette citation >> Citation de Denis Tillinac (n° 170622) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Dernières poésies, Odes, La Jeune Captive de André Chénier
Références de André Chénier - Biographie de André Chénier
Plus sur cette citation >> Citation de André Chénier (n° 116486) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Nuit du renard (1977) de Mary Higgins Clark
Références de Mary Higgins Clark - Biographie de Mary Higgins Clark
Plus sur cette citation >> Citation de Mary Higgins Clark (n° 166975) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fermer les yeux (2020) de Antoine Renand
Références de Antoine Renand - Biographie de Antoine Renand
Plus sur cette citation >> Citation de Antoine Renand (n° 174159) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Vieille (1963) de Jacques Brel
Références de Jacques Brel - Biographie de Jacques Brel
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Brel (n° 87674) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Marius (1931), I, 3, César de Marcel Pagnol
Références de Marcel Pagnol - Biographie de Marcel Pagnol
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Pagnol (n° 122546) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview We Culte - Le Mag Culture, Juliette Gréco : « Il faut se battre pour le bonheur » par Victor Hache, 6 décembre 2015 de Juliette Gréco
Références de Juliette Gréco - Biographie de Juliette Gréco
Plus sur cette citation >> Citation de Juliette Gréco (n° 170558) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Proverbe de Proverbes français
Références de Proverbes français - Biographie de Proverbes français
Plus sur cette citation >> Citation de Proverbes français (n° 55768) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien Le Nouvel Observateur par Sébastien Billard le 11 juin 2014 de Olivier Guez
Références de Olivier Guez - Biographie de Olivier Guez
Plus sur cette citation >> Citation de Olivier Guez (n° 153930) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Tiers-instruit (1991) de Michel Serres
Références de Michel Serres - Biographie de Michel Serres
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Serres (n° 160996) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Odes, I, 11 de Horace
Références de Horace - Biographie de Horace
Plus sur cette citation >> Citation de Horace (n° 154986) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Luca (2019) de Franck Thilliez
Références de Franck Thilliez - Biographie de Franck Thilliez
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Thilliez (n° 163524) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'amour, le dédain et l'espérance de Guillaume Apollinaire
Références de Guillaume Apollinaire - Biographie de Guillaume Apollinaire
Plus sur cette citation >> Citation de Guillaume Apollinaire (n° 106047) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Bartabas (2004) de Jérôme Garcin
Références de Jérôme Garcin - Biographie de Jérôme Garcin
Plus sur cette citation >> Citation de Jérôme Garcin (n° 101438) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
Références de Philippe Jaenada - Biographie de Philippe Jaenada
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Jaenada (n° 173573) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mots de tête incurables (2005) de Pierre Légaré
Références de Pierre Légaré - Biographie de Pierre Légaré
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Légaré (n° 137080) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Société du spectacle (1971) de Guy Debord
Références de Guy Debord - Biographie de Guy Debord
Plus sur cette citation >> Citation de Guy Debord (n° 54304) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Elsa de Louis Aragon
Références de Louis Aragon - Biographie de Louis Aragon
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Aragon (n° 165866) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795) de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
Références de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Biographie de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
Plus sur cette citation >> Citation de Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort (n° 105069) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur le temps au temps
Toutes les citations sur le temps au temps Citations le temps au temps Citation le temps au temps et Proverbe le temps au temps Proverbes le temps au temps : 920 citations et proverbes sur le temps au temps Citation le temps au temps - Proverbe le temps au temps - 920 citations Citations, proverbes sur le temps au temps Citations, proverbes sur le temps au temps Citations et belles pensées sur le temps au temps Les plus belles citations sur le temps au temps Toutes les citations sur le temps au temps Les plus belles citations et pensées sur le temps au temps Citation sur le Citations courtes le
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
