Citation vie en societe
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Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème vie en societe.
50 citations
Nous suivons Descartes, et délaissons Pascal. Aussi cherchons-nous d'abord à développer en nous l'intelligence. Quant aux activités non intellectuelles de l'esprit, telles que le sens moral, le sens du beau et surtout le sens du sacré, elles sont négligées de façon presque complète. L'atrophie de ces activités fondamentales fait de l'homme moderne un être spirituellement aveugle. Une telle infirmité ne lui permet pas d'être un bon élément constitutif de la société. C'est à la mauvaise qualité de l'individu qu'il faut attribuer l'effondrement de notre civilisation. En fait, le spirituel se montre aussi indispensable à la réussite de la vie que l'intellectuel et le matériel. Il est donc urgent de ressusciter en nous-mêmes les activités mentales qui, beaucoup plus que l'intelligence, donnent sa force à la personnalité. La plus ignorée d'entre elles est le sens du sacré, ou sens religieux.
Si l'on est seul à avoir raison, cela veut dire qu'on a tort: c'est l'une des règles amères, de la vie en société.
Ta vie prouve que nous ne sommes pas ce que nous faisons, mais qu'au contraire nous sommes ce que nous n'avons pas fait , parce que le monde, ou la société, nous en a empêchés.
Ainsi, le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur vie intérieure, pousse les hommes les uns vers les autres ; mais leurs nombreuses manières d'être antipathiques et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières.
Gynécologue est le seul métier pour une femme dans lequel elle peut se vanter sans honte en société de passer sa vie à écarter les jambes.
Nous voulons être invisibles du point de vue de notre vie sociale, et par conséquent que les torts et les méfaits qui nous affectent en tant que Noirs soient efficacement réduits. Mais nous voulons êtres visibles du point de vue de nos identités culturelles noires, de nos rapports précieux et uniques à la société et à la culture française.
Je me jurais, une fois rentré en France, de continuer à pratiquer l'affût. Nul besoin de se trouver à 5000 mètres dans l'Himalaya. La grandeur de cet exercice partout praticable était de toujours procurer ce qu'on exigeait de lui. À la fenêtre de sa chambre, sur la terrasse d'un restaurant, dans une forêt ou sur le bord de l'eau, en société ou seul sur un banc, il suffisait d'écarquiller les yeux et d'attendre que quelque chose surgisse. On ne l'aurait jamais noté si l'on ne s'était pas maintenu aux aguets. Et si rien n'arrivait, la qualité du temps passé s'était trouvée accrue par l'attention portée. L'affût était un mode opératoire. Il fallait en faire un style de vie.
La seule simplicité qui importe est la simplicité du coeur. Si elle disparaissait, ce n'est pas une diète de navets ou un vêtement de « cellular » qui la ramènerait, ce sont les larmes, la terreur, les feux inextinguibles. Si elle nous reste, peu importe que quelques fauteuils de l'époque victorienne nous reste avec elle. Tant que la Société ne s'en prendra pas à ma vie spirituelle, je lui permettrai, avec une soumission relative, de traiter à sa fantaisie ma vie matérielle. Je mettrai l'humilité d'un coeur simple à fumer des cigares, à boire une bouteille de Bourgogne, à prendre un fiacre si toutefois par ces moyens je peux me conserver la virginité de l'esprit qui se réjouit dans l'étonnement et la crainte. Je ne prétends pas que ce soient les seuls moyens de la conserver. J'incline à penser qu'il en existe d'autres. Mais je ne veux rien avoir à faire avec une simplicité qui ignore la crainte, l'étonnement, et la joie tout ensemble. Je ne veux rien avoir à faire avec la vision diabolique d'un enfant trop simple pour aimer les jouets.
Nous devons prendre en compte une caractéristique surprenante des êtres humains. Bien que nous ayons une expérience constante de la vie en société, nous ne la comprenons pas très bien, voire pas du tout.
Le principe de toute éducation à la vie en société se résume en cette phrase : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te fasse.
Toujours votre société violente et chaotique, même quand elle veut la paix, même quand elle est à l'état d'apparent repos, porte en elle la guerre, comme la nuée dormante porte l'orage. Messieurs, il n'y a qu'un moyen d'abolir enfin la guerre entre les peuples, c'est d'abolir la guerre entre les individus, c'est d'abolir la guerre économique, le désordre de la société présente, c'est de substituer à la lutte universelle pour la vie, qui aboutit à la lutte universelle sur les champs de bataille, un régime de concorde sociale et d'unité.
L'assassinat ne tue que l'individu ; le manque d'orthodoxie menace bien autre chose que la vie : il frappe la Société même.
Par une froide journée d'hiver un troupeau de porcs-épics s'était mis en groupe serré pour se garantir mutuellement contre la gelée par leur propre chaleur. Mais tout aussitôt ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit s’écarter les uns des autres. Quand le besoin de se réchauffer les eut rapprochés de nouveau, le même inconvénient se renouvela, de sorte qu'ils étaient ballottés de çà et de là entre les deux maux jusqu'à ce qu'ils eussent fini par trouver une distance moyenne qui leur rendît la situation supportable. Ainsi, le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur vie intérieure, pousse les hommes les uns vers les autres ; mais leurs nombreuses manières d'être antipathiques et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières. En Angleterre on crie à celui qui ne se tient pas à cette distance : Keep your distance ! Par ce moyen le besoin de se réchauffer n'est, à la vérité, satisfait qu'à moitié, mais, en revanche, on ne ressent pas la blessure des piquants. Cependant celui qui possède assez de chaleur intérieure propre préfère rester en dehors de la société pour ne pas éprouver de désagréments, ni en causer.
La vie est un orage, soit! Nous sommes orage et convulsion nous-mêmes. Laissons-nous aller à cette loi, qui emporte tout dans l'abîme, et il n'y a plus de société, plus d'humanité, plus rien: nous finissons comme les sauvages, par l'eau de feu ; si nous croyons à la civilisation, c'est-à-dire à Dieu et à l'homme, luttons contre l'orage extérieur et contre l'orage intérieur; exerçons-nous à la force, réservons le peu que nous en acquérons chaque jour pour un noble emploi.
L'homme doit brider ses pulsions dans sa vie en société. Ne pas laisser libre cours à ses désirs.La colère, la peur, la rage, tout doit être canalisé. La guerre, c'est faire sauter les verrous pour tuer sans plus se poser de questions. Et irrémédiablement, les instincts primaires émergent à nouveau. On ne peut dissocier la mort de la vie, la peur du courage, la rage du désir.
Le milieu scolaire demeure l'endroit privilégié où l'enfant construit sa personnalité propre et son identité sociale. C'est le plus souvent à l'école que l'enfant se cherche en faisant l'expérience de ses relations avec les autres : est-il le dernier à être choisi au sein de l'équipe de ballon-chasseur ? a-t-il du succès lors de l'élection du représentant de classe ? est-ce que les autres rient quand il leur fait une grimace ? se moque-t-on de lui à la récréation ? Voilà autant de questions essentielles dont les réponses enseigneront peu à peu à l'enfant qui il est. Est-il populaire, aimable, admiré ? Modérément marginal, différent ou handicapé ? Un peu trop gros, un peu trop laid, boutonneux ou niaiseux ? Rien de tout cela n'est simple ni facile pour personne. L'écolier affronte l'apprentissage de la vie en société. Cela aussi, on le sait très bien.
Je pense que face à la même société, à la même époque, les femmes ont quand même à faire face à deux fois plus d'adversité que les hommes, parce qu'elles doivent déjà s'affranchir de la société, généralement aussi selon les époques, de leur famille, un rôle préconçu qu'on attend d'elles. Le fait qu'elles doivent déjà surmonter ça, et qu'en plus certaines d'entre elles arrivent à changer des choses dans leur vie et en général, et que ça ait une influence sur leur entourage et sur leur époque, c'était quelque chose qui m'intéressait.
Mieux vaut être illettré mais heureux et vivre une vie de plénitude, plutôt que d'être savant, bien placé dans la société, mais triste, inquiet, angoissé.
La vie en société c'est quand tout le monde est là et qu'il n'y a personne. La vie en société c'est quand tous obéissent à ce que personne ne veut.
Je ne crois pas qu'il y ait des coupables. L'homme est tellement mal armé pour la vie que le supposer coupable, c'est presque en faire un surhomme. Je n'en veux pas plus à un chef d'Etat d'être Rastignac orgueilleux, de tout sacrifier à sa petite gloriole, que je n'en veux à un clochard de vivre sous les ponts et, quand il en a l'occasion, de chiper un portefeuille. Il y a des gens que la société pousse au crime.
Quand vous entrez dans la classe, vous êtes dans la vie. Ces élèves-là, c'est la vie. La classe, c'est une entité qui est une petite société en elle-même.
« Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c'est le seul moyen de rendre la vie supportable. »
Toute la petite société entra dans ce louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup.L’avenir n’était qu’une somme d’expériences à reconduire, service militaire de vingt-quatre mois, travail, mariage, enfants. On attendait de nous l’acceptation naturelle de la transmission. Devant ce futur assigné, on avait confusément envie de rester jeunes longtemps. Les discours et les institutions étaient en retard sur nos désirs mais le fossé entre le dicible de la société et notre indicible paraissait normal et irrémédiable. Ce n’était pas même quelque chose qu’on pouvait penser, seulement ressentir chacun dans son for intérieur en regardant A bout de souffle.
Les quatre principes de la vie en société sont les convenances, la justice, l'intégrité et la modestie.
Le couple, contrairement à ce que la société veut nous faire croire, est l'espace de liberté le plus grand. C'est le seul domaine qui échappe à la norme, à l'opposé du travail ou des relations sociales.Tu trouveras des couples qui se disputent sans arrêt et restent ensemble une vie, d'autres qui s’épanouissent dans le calme, ceux qui veulent des enfants et ceux qui n'en veulent pas, ceux pour qui la fidélité est primordiale et ceux qui la rendent accessoire. Beaucoup trouveront normal ce qui, pour d'autres, relève de l'anomalie. Et inversement. Il n'y a aucune règle, et autant de normes que de couples. Quelle idée de vouloir faire entrer une telle liberté dans un cadre officiel.
Un médecin parle de la prière (1944) de Alexis Carrel
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De la part de la princesse morte (1987) de Kenizé de Kotwara, dite Kenizé Mourad
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Qui a tué mon père de Édouard Louis
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Parerga et Paralipomena (1851) de Arthur Schopenhauer
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Carnet de notes (2001) de Patrick Sébastien
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La condition noire : Essai sur une minorité française (2009) de Pap Ndiaye
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La panthère des neiges (2019) de Sylvain Tesson
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Hérétiques (1912) de Gilbert Keith Chesterton
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Et l'homme créa les dieux : Comment expliquer la religion (2001) de Pascal Boyer
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L'Ame du monde (2012) de Frédéric Lenoir
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Discours prononcé à la chambre des députés de l'Assemblée nationale le 7 mars 1895, de Jean Jaurès
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Le meilleur des mondes (1932), 10 de Aldous Huxley
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Parerga et Paralipomena (1851) de Arthur Schopenhauer
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Tamaris (1862) de George Sand
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Prédateurs de Maxime Chattam
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Du pipi, du gaspillage et sept autres lieux communs (2001) de Bernard Arcand
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France TV Info, 29 septembre 2016 de Pénélope Bagieu
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Le verseau et l'avènement de l'âge d'or (1974-1987) de Julie Bonnie
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L'inespérée de Christian Bobin
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Contact, l'encyclopédie de la création (Emission de TV canadienne). de Daniel Pennac
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Candide (1759) de Voltaire
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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Sans référence de Kouan Tseu
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S'adapter (2021) de Clara Dupont-Monod
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