Une citation de Veronique Audelon
proposée le vendredi 08 octobre 2010 à 00:23:28Veronique Audelon - Ses citations
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Le vieillard est celui qui connaît le visible et l'invisible, qui est à l'oreille de la brousse : il entend le langage des oiseaux, lit les traces des animaux sur le sol et les taches lumineuses que le soleil projette à travers le feuillage. Il sait interpréter le bruissement des quatre grands vents et des quatre vents secondaires ainsi que la marche des nuages à travers l'espace, car pour moi tout est signe et langage.
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Amadou Hampâté Bâ
Lorsque je te dis : Je t'aime, mon amour se teinte d'infini.
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Véronique Audelon
Ce que je leur reproche le plus aux Pyrénées, c’est d’être des montagnes. .. Or, les montagnes, dont je sens pourtant, aussi bien qu’un autre, la poésie énorme et farouche, symbolisent pour moi tout ce que l’univers peut contenir d’incurable tristesse, de noir découragement, d’atmosphère irrespirable et mortelle.
Les 21 jours d’un neurasthénique (1901), Octave Mirbeau, éd. du Boucher, 2003, chap. I, p. 34 -
Octave Mirbeau
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