Une citation de Edouard Zarifian
proposée le mercredi 15 août 2007 à 10:28:34Edouard Zarifian - Ses citations
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La première fois que Némie Satler m'entendit jouer du violon, elle me dit : - vous n'y allez pas de main morte ! Elle ajouta que j'avais raison parce qu'il y avait beaucoup de mains mortes en musique.
Vie secrète, Folio n° 3292, p. 21 -
Pascal Quignard
Ils tenaient le compte du nombre de fois où je fumais et cette innocente marque d’intérêt portée à ma personne suffisait à imprimer à ma cigarette une inclinaison gauche et bizarre tendant à faire croire que je fumais pour la première fois de ma vie ; les cendres se répandaient fréquemment sur mes genoux et leurs yeux vifs suivaient attentivement le trajet du pollen gris tombant de ma main pour s’aller perdre dans la laine.
Le guetteur", Gallimard, Collection "Folio" n°1580, 1990, p.18 -
Vladimir Nabokov
Etre heureux, c'est recevoir plus de gratifications que de frustrations. Etre malheureux, c'est l'inverse. On ne vit pas très longtemps sans ressentir de la souffrance psychique lorsque les frustrations sont durablement plus importantes que les gratifications.
La Force de guérir -
Édouard Zarifian
La société a-t-elle besoin de la folie pour étalonner sa normalité et sa raison ?
Les Jardiniers de la Folie -
Édouard Zarifian
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