Une citation de René Descartes
proposée le jeudi 03 février 2011 à 15:34:54René Descartes - Ses citations
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Je n'oublierai jamais le moment ou, pour la première fois, j'ai senti et compris la tragédie de la colonisation. [. .. ] Depuis ce jour, j'ai honte de mon pays. Depuis ce jour, je ne peux pas rencontrer un Indochinois, un Algérien, un Marocain, sans avoir envie de lui demander pardon. Pardon pour toutes les douleurs, toutes les humiliations qu'on lui a fait souffrir, qu'on a fait souffrir à leur peuple. Car leur oppresseur, c'est l'Etat français, il le fait au nom de tous les Français, donc aussi, pour une petite part, en mon nom. C'est pourquoi, en présence de ceux que l'Etat français opprime, je ne peux pas ne pas rougir, je ne peux pas ne pas sentir que j'ai des fautes à racheter.
Qui est coupable des menées antifrançaises » (1938), dans Écrits historiques et politiques -
Simone Weil
L'amour est incomparablement meilleure que la haine ; elle ne saurait être trop grande.
Traité des passions de l'âme -
René Descartes
Les hommes que les passions peuvent le plus émouvoir sont capables de goûter le plus de bonheur en cette vie.
Traité des passions de l'âme -
René Descartes
Souvent une fausse joie vaut mieux qu'une tristesse dont la cause est vraie.
Traité des passions de l'âme -
René Descartes
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