Une citation de Étienne Bonnot de Condillac
proposée le jeudi 19 mai 2011 à 17:12:07Étienne Bonnot de Condillac - Ses citations
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Cette passion pour les langues mortes devait retarder les progrès du goût. Les langues n'ont d'élégance qu'autant qu'il y en a dans l'esprit de ceux qui les parlent. Les esprits étaient donc bien grossiers au quinzième siècle, puisque les langues étaient grossières.
Cours d'étude pour l'instruction du prince de Parme -
Etienne Bonnot de Condillac
Il y a longtemps que j'aurais pris la liberté de vous aimer, si vous aviez le loisir d'être aimée de moi : mais vous êtes occupée par je ne sais combien d'autres soupirants. J'ai jugé à propos de vous garder mon amour : il pourra arriver quelque teins plus favorable, où je le placerai.
De l'art d'écrire -
Etienne Bonnot de Condillac
Ce n'est pas prendre une liberté que d'aimer une personne aimable, mais c'est en prendre une que de lui déclarer son amour. En confondant ces deux choses, vous mêlez le vrai et le faux : voila l'art.
De l'art d'écrire -
Etienne Bonnot de Condillac
Rien n'est beau que le vrai : cependant tout ce qui est vrai n'est pas beau. Pour y suppléer, l'imagination lui associe les idées les plus propres à l'embellir.
Essai sur l'origine des connaissances humaines -
Étienne Bonnot de Condillac
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