Une citation de Maureen Johnson
proposée le mercredi 24 août 2011 à 17:06:30Maureen Johnson - Ses citations
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Je n'oublierai jamais le moment ou, pour la première fois, j'ai senti et compris la tragédie de la colonisation. [. .. ] Depuis ce jour, j'ai honte de mon pays. Depuis ce jour, je ne peux pas rencontrer un Indochinois, un Algérien, un Marocain, sans avoir envie de lui demander pardon. Pardon pour toutes les douleurs, toutes les humiliations qu'on lui a fait souffrir, qu'on a fait souffrir à leur peuple. Car leur oppresseur, c'est l'Etat français, il le fait au nom de tous les Français, donc aussi, pour une petite part, en mon nom. C'est pourquoi, en présence de ceux que l'Etat français opprime, je ne peux pas ne pas rougir, je ne peux pas ne pas sentir que j'ai des fautes à racheter.
Qui est coupable des menées antifrançaises » (1938), dans Écrits historiques et politiques -
Simone Weil
On comprend les femmes comme la langue des oiseaux, d'intuition ou pas du tout. La peine, l'étude, l'effort ne servent de rien ici : c'est un don et une grâce. Pour comprendre ces énigmes vivantes, il faut les aimer.
Fragments d'un journal intime -
Henri Frédéric Amiel
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