Une citation de Françoise Sagan
proposée le lundi 05 septembre 2011 à 07:46:11Françoise Sagan - Ses citations
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Oui, c'est bien ce que je pensais que l'âge adulte m'apporterait, une sorte de long été indien, un état de quiétude, d'incuriosité paisible, totalement purgé des impatiences tout juste supportables de l'enfance, où tout ce qui m'avait intrigué autrefois était enfin réglé, tous les mystères révélés, toutes les questions résolues et où les moments s'écoulaient un à un, presque à mon insu, goutte d'or après goutte d'or, en attendant, à mon insu ou presque, l'ultime coup de grâce.
La mer, Robert Laffont, 2007, page 92 -
John Banville
Avant, je buvais pour rejoindre les gens, maintenant je bois pour les oublier.
Les merveilleux nuages -
Françoise Sagan
J’ai toujours gardé de l’affection, de la tendresse pour les hommes avec qui j’ai couché, bien ou mal. C’est assez rare, semble-t-il. Mais en une nuit, dans un lit, il y a toujours un moment où l’on est plus proche de l’homme qui les partage avec vous que du reste de la terre, et personne ne me fera croire le contraire.
Le Garde du coeur -
Françoise Sagan
Et, à mon sens, il faut beaucoup de courage pour se tuer. Il suffit de penser au nombre de gens qui n’ont que ça à faire et n’y parviennent pas.
Le Garde du coeur -
Françoise Sagan
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