Une citation de Henri Frédéric Amiel
proposée le mercredi 02 mai 2012 à 16:15:05Henri Frédéric Amiel - Ses citations
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Je l'ai toujours dit ; les poètes célibataires sont une peste publique ; ils troublent, sans le savoir et le vouloir, tous les cœurs féminins sans emploi.
Journal intime -
Henri Frédéric Amiel
On comprend les femmes comme la langue des oiseaux, d'intuition ou pas du tout. La peine, l'étude, l'effort ne servent de rien ici : c'est un don et une grâce. Pour comprendre ces énigmes vivantes, il faut les aimer.
Fragments d'un journal intime -
Henri Frédéric Amiel
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