Une citation de Philippe Labro
proposée le samedi 05 juillet 2008 à 16:29:53Philippe Labro - Ses citations
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Je crois que tout écrivain possède des tics comme ça, des petites manies. Pourquoi ? Parce que ça l’enferme, ça lui permet de se concentrer. C’est des rites. [...] Par exemple, même en plein jour, je ferme les rideaux et j’allume la lumière. Je ne peux pas écrire autrement que dans une notion de nuit, une atmosphère de silence.
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Philippe Labro
[...] c’est que je ne peux pas concevoir de ne pas voir ce que j’ai écrit, revenir en arrière, jouer avec mes feuillets. Quand je relis, une session de travail est suivie d’une autre. Celle qui suit, je relis ce que j’ai écrit la veille ou huit jours avant. Donc, j’aime bien revoir et corriger. Alors, vous me direz, on peut le faire avec l’ordinateur. C’est pas pareil. Ça défile, c’est totalement inhumain, [...] ça m’intéresse pas. J’ai besoin d’être dans la toile, vous voyez, au milieu... au milieu de la chose.
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Franchement, je ne connais aucun cinéaste, le plus exigeant, le plus intellectuel et le plus pointu possible, qui ait souhaité faire des films devant des salles vides. Vous faites un film pour vous exprimer, bien entendu, pour faire passer votre vision du monde ou les gens à travers, donc, des images, mais vous le faites pour les autres, donc, pour le public, donc, l’exigence est là, oui.
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Je crois que ce qui compte, c’est le désir et l’envie et l’énergie. Si vous avez ces trois choses-là, vous pouvez faire des choses.
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