Une citation de Alphonse Toussenel
proposée le dimanche 10 février 2013 à 20:24:29Alphonse Toussenel - Ses citations
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Le merveilleux d’une maison n’est point qu’elle vous abrite ou vous réchauffe, ni qu’on en possède les murs. Mais bien qu’elle ait lentement déposé en nous ces provisions de douceur. Qu’elle forme, dans le fond du cœur, ce massif obscur dont naissent, comme des eaux de source, les songes.
Terre des hommes -
Antoine de Saint-Exupéry
La femme est la poésie, l'homme la prose.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
L'homme cherche la lumière, la femme porte en elle la chaleur.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
La femme baille et s'endort aux discussions subtiles sur l'infini, parce qu'elle n'a pas besoin qu'on lui. Démontre ce qu'elle sent. L'homme, à force d'apprendre, tombe dans le scepticisme ; la femme, qui est en communion plus intime avec la nature, ne perd Jamais l'idée de Dieu. C'est pour cela aussi que la femme n'éprouve jamais le besoin de se faire apôtre comme l'homme, quand elle croit à une vérité religieuse ; c'est pour cela qu'elle a plus de tolérance, et qu'elle n'a jamais songé comme l'homme à se déifier. Or, la déification de l'homme par l'homme est le nec plus ultrà des extravagances de l'esprit humain.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
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