Une citation de Pierre Mauroy
proposée le samedi 08 juin 2013 à 12:11:15Pierre Mauroy - Ses citations
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Je n'oublierai jamais le moment ou, pour la première fois, j'ai senti et compris la tragédie de la colonisation. [. .. ] Depuis ce jour, j'ai honte de mon pays. Depuis ce jour, je ne peux pas rencontrer un Indochinois, un Algérien, un Marocain, sans avoir envie de lui demander pardon. Pardon pour toutes les douleurs, toutes les humiliations qu'on lui a fait souffrir, qu'on a fait souffrir à leur peuple. Car leur oppresseur, c'est l'Etat français, il le fait au nom de tous les Français, donc aussi, pour une petite part, en mon nom. C'est pourquoi, en présence de ceux que l'Etat français opprime, je ne peux pas ne pas rougir, je ne peux pas ne pas sentir que j'ai des fautes à racheter.
Qui est coupable des menées antifrançaises » (1938), dans Écrits historiques et politiques -
Simone Weil
Je n'oublierai jamais, qu'aimer c'est toujours donner.
La vie d'une autre -
Frédérique Deghelt
Ce 17 mai 1940, à l'heure de quitter ma maison et mon village, je n'étais encore qu'un petit garçon insouciant. J'ignorais que mon engagement en politique, au service des hommes, naîtrait sur les routes de l'exode. Ce jour-là, ma vie prit une direction dont je n'ai jamais dévié depuis.
Ce jour-là -
Pierre Mauroy
On est toujours persuadé que ça va être beaucoup plus facile avec la gauche ; que le nouveau président de la République va pouvoir tout régler. Ce n’est pas tout à fait comme cela que ça se passe.
Ce jour-là -
Pierre Mauroy
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