Une citation de Ernest Naville
proposée le jeudi 13 mars 2014 à 08:03:51Ernest Naville - Ses citations
Citations similaires
Je parviens à pédaler machinalement, sans penser au temps qui fut et sans redouter le temps qui vient. Nous décomptons souvent ce qui nous reste à souffrir. C'est la source de notre malheur. La perspective des heures à endurer est plus lourde que le fardeau lui-même.
Éloge de l'énergie vagabonde, Sylvain Tesson, éd. Éditions des Équateurs, 2007 (ISBN 978-2-266-17874-7), p. 62 -
Sylvain Tesson
On redoute toujours de perdre la mémoire. C'est elle la source de nos maux. On ne vit bien que dans l'oubli. La mémoire est le pire ennemi du bonheur. Les gens heureux oublient.
Le club des incorrigibles optimistes -
Jean-Michel Guenassia
Dans l'ordre de la pensée, être libre c'est chercher la vérité partout où elle se trouve, et c'est obéir à la vérité partout où elle se rencontre
Le Chrétien évangélique - Volume 7 - Page 122, 1864 -
Ernest Naville
Quand il est question de Dieu, de l'âme, de son avenir immortel, à qui me demande : faites-vous de la religion ou de la philosophie ? je ne saurais en vérité répondre qu'une chose : je suis homme et je cherche la vérité.
Le Chrétien évangélique - Volume 7 - Page 122, 1864. -
Ernest Naville
Contribuer