Une citation de Vikas Swarup
proposée le jeudi 01 janvier 2015 à 22:50:30Vikas Swarup - Ses citations
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Le temps c'est toi qui dors à l'aube où je m'éveille. C'est toi comme un couteau traversant mon gosier. Oh que ne puis-je dire ce tourment du temps qui ne passe point. Ce tourment du temps arrêté comme le sang dans les vaisseaux bleus. Et c'est bien pire que le désir interminablement non satisfait que cette soif de l'oeil quand tu marcheras dans la pièce. Et je ne sais qu'il ne faut pas rompre l'enchantement. Bien pire que de te sentir étrangère, fuyante, la tête ailleurs et le coeur dans un autre siècle déjà. Mon Dieu que les mots sont lourds. Il s'agit bien de cela. Mon amour au-delà du plaisir mon amour hors de portée aujourd'hui de l'atteinte. Toi qui bats à ma tempe horloge. Et si tu ne respires pas j'étouffe. Et sur ma chair hésite et se pose ton pas.
Les Yeux d'Elsa : Je vais te dire un grand secret -
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Yesterdingue : doux rêveur, qui vit aujourd’hui dans le regret d’hier, et qui porte le deuil depuis que John Lennon a été assassin.
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Alain Finkielkraut
Pour le bonheur de sa république Platon en bannissait les poètes ; mais c'est pour leur bonheur qu'on les bannirait aujourd'hui de la nôtre.
Bluettes et boutades -
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Pour ce qui est de la poésie libre dans Alcools, il ne peut y avoir aujourd’hui de lyrisme authentique sans la liberté complète du poète et même s’il écrit en vers réguliers c’est sa liberté qui le convie à ce jeu ; hors de cette liberté il ne saurait plus y avoir de poésie.
Lettre à sa marraine (30 octobre 1915 -
Guillaume Apollinaire
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