Une citation de William Shakespeare
proposée le mercredi 27 mai 2015 à 13:00:01William Shakespeare - Ses citations
Citations similaires
Eh oui, monsieur, mais "le temps que l'herbe pousse"... C'est un vieux proverbe un peu moisi.
Hamlet -Gallimard, Collection Folio n°1069, 1978, p.128. -
William Shakespeare
Ni la tour de pierre, ni les murailles de bronze, ni le cachot privé d'air, ni les liens de fer massif, ne peuvent assujettir la liberté de l'ame. l'ame, dès qu'elle est fatiguée des entraves de ce monde, ne manque jamais de pouvoir pour s'élargir elle-même. voilà ce que je sais ; et dès-lors, que tout l'univers sache aussi, que je puis à mon gré secouer de moi la part du joug que je porte.
Jules César, I, 7, trad. Le Tourneur, 1776. -
William Shakespeare
Là où se loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais.
-
William Shakespeare
Ah moi, je donnerais toutes les pièces de Schmitt pour écrire un opéra de Mozart ! Ça, c’est clair. Mais voilà, je ne suis pas compositeur. Je trouve qu’ils ont une chance hallucinante, c’est-à-dire qu’ils ne sont jamais allés à Babel. Voilà. Ils écrivent dans une langue qui est compréhensible par tout le monde sur toute la terre partout, sans traduction. Et cette langue, en plus, est une langue directement émotive qui, tout de suite, vous affecte au plus profond de votre corps. Et puis c’est une langue qui vous touche dans votre corps, le rythme touche dans le corps, la mélodie touche dans la sensibilité, l’harmonie [...] voilà ! Donc, ce mode d’expression est hallucinant. Mais en même temps, il a ses limites. C’est ce qui me rassure, je me dis. C’est-à-dire que ce n’est pas réflexif. C’est-à-dire, heureusement, avec les mots, on a le pouvoir de toucher l’intelligence de l’autre.
Contact l'encyclopédie de la création - Emission canadienne par Stéphan Bureau - Septembre 2005 -
Eric-Emmanuel Schmitt
Contribuer