Une citation de Harlan Coben
proposée le lundi 01 juin 2015 à 13:00:01Harlan Coben - Ses citations
Citations similaires
Une vieille paysanne guette l'arrivée du car qui doit la conduire au marché d'Agadir pour y vendre ses oranges et refuse l'offre d'un homme riche de lui céder toute sa marchandise : "Ecoute, mon fils. J'ai passé trois jours à cueillir ces fruits et ces légumes. Aujourd'hui je me suis levée très tôt. Je marche depuis ce matin à pied [...] Je ne me suis pas levée à l'aube pour me débarrasser en un clin d'oeil de tous mes fruits et légumes. Je vais à Agadir m'installer dans mon petit coin, étaler mes produits, saluer le gardien, demander des nouvelles de Rahma qui est malade, et vendre mes oranges et mes tomates à plusieurs personnes. J'aimerais recevoir la même somme que tu m'offres, mais de plusieurs mains, avec plusieurs sourires, et de visages différents. Je suis désolée, je ne me débarrasse pas de ma marchandise, je la vends. Et je passe toute une journée à la vendre. Sinon quelle vie aurions-nous ? Et quel intérêt de ne plus aller jusqu'au marché ?
cité par Colette Nys-Mazure dans"Tahar Ben Jelloun, le fou, le sage, écrivain public", ed. La Renaissance du livre, 2004, pp. 12 et 13,extrait tiré de "La Prière de l'Absent" Tahar Ben Jelloun, Ed Le Seuil, 1981. -
Tahar Ben Jelloun
Je ne l'aime plus. quand je le regarde aujourd'hui, je me demande même comment j'ai pu...
Livre "Cécilia. Portrait" - La journaliste Anna Bitton retranscrit directement des propos que lui aurait tenus Cécilia Sarkozy sur son ex-époux. -
Cécilia Sarkozy
Les souvenirs, ça fait mal. Surtout les bons.
Ne le dis à personne. -
Harlan Coben
La vieillesse rendait-elle insensible à la souffrance ou était-ce simplement le masque qui gagnait en solidité ?.
Juste un regard -
Harlan Coben
Contribuer