Une citation de Franz Werfel
proposée le samedi 08 août 2015 à 18:42:26Franz Werfel - Ses citations
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J’ai pensé que l’ordre social était dans la nature même des choses, et n’empruntait de l’esprit humain que le soin d’en mettre à leur place les éléments divers ; qu’un peuple pouvait être gouverné sans être assujetti, sans être licencieux, et sans être opprimé ; que l’homme naissait pour la paix et pour la liberté, et n’était malheureux et corrompu que par les lois insidieuses de la domination. Alors j’imaginai que si l’on donnait à l’homme des lois selon la nature et son cœur, il cesserait d’être malheureux et corrompu.
Discours sur la Constitution à donner à la France 24 Avril 1793 -
Louis de Saint-Just
A quarante ans, l'homme ne sait plus que travailler. Travailler, c'est marcher vers soi-même.
L'Homme et l'amour -
Paul Géraldy
L'homme ne sait pas se faire absolument dur, et son gel demeure toujours imparfait quand il s'y mêle une paille de tendresse.
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André Pieyre de Mandiargues
À chaque siècle, les hommes, pour épicer la vie, aliment amer au goût, la relèvent d'idées nouvelles qui finalement la rendent encore plus indigeste.
Les 40 jours du Musa Dagh, Franz Werfel (trad. Paule Hofer-Bury), éd. Albin Michel, 1989, p. 44 -
Franz Werfel
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