Une citation de Arturo Perez-Reverte
proposée le dimanche 08 novembre 2015 à 09:30:01Arturo Perez-Reverte - Ses citations
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Il y aura toujours, jusqu’au dernier instant, des hommes et des femmes pour interroger le cachalot agonisant au moment où il tourne sa face vers le soleil et expire
Le Cimetière des bateaux sans nom. Editions du Seuil, Collection Points, page 241. -
Arturo Pérez-Reverte
Chacun possède au moins un rêve, dit l'étranger. Mais pas grand monde ne s'en souvient.
Le sculpteur de rêves -
Claude Clément
De même qu’on porte le poids de son propre corps sans le sentir, comme on le sentirait de tout corps étranger qu’on voudrait mouvoir, de même on ne remarque que les défauts et les vices des autres, et non les siens. Mais en revanche chacun possède en autrui un miroir dans lequel il peut voir distinctement ses propres vices, ses défauts, ses manières grossières et répugnantes. Mais il fait d’ordinaire comme le chien qui aboie contre le miroir, parce qu’il ne sait pas que c’est lui-même qu’il y aperçoit et qu’il s’imagine voir un autre chien.
Parerga et Paralipomena -
Arthur Schopenhauer
La société vole le temps. La seule chose que chacun possède pour en faire ce qu’il veut. La société s’en moque, elle n’a aucun respect pour les individus. Tout se passe comme si chacun sacrifiait dix ou quinze années de sa vie sur l’autel de l’économie. Sans parler des années de vieillesse, plus ou moins sordides. Il y a un vice quelque part. Regardez la télévision : c’est une calamité. Elle donne aux gens l’illusion de communier entre eux, d’avoir une vie de famille dans la mesure où ils sont quatre à regarder la même chose sur le même écran, au même moment. C’est absurde.
Un certain regard de Françoise Sagan -
Françoise Sagan
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