Une citation de Jirô Taniguchi
proposée le jeudi 04 février 2016 à 10:30:06Jirô Taniguchi - Ses citations
Citations similaires
Encore maintenant, perdre tout à coup un être qui a vécu près de soi, c'est un grand trou qui s'ouvre. Mais on ne peut pas vivre non plus avec cette béance dans le coeur en permanence. Cela prend longtemps en soi d'accepter la disparition d'un être aimé. Et je crois que c'est en mettant de l'ordre dans ses sentiments, en surmontant sa détresse et en prenant un nouveau départ, que l'on grandit.
Un Ciel Radieux -
Jirô Taniguchi
L'oeuvre ne courut un risque grave que pendant la guerre de 1939. Les automobiles marchant alors au gazogène, on n'avait jamais assez de bois. On commença à faire des coupes dans les chênes de 1910, mais ces quartiers sont si loin de tous réseaux routiers que l'entreprise se révéla très mauvaise au point de vue financier. On l'abandonna. Le berger n'avait rien vu. Il était à trente kilomètres de là, continuant paisiblement sa besogne, ignorant la guerre de 39 comme il avait ignoré la guerre de 14.
L'Homme qui plantait des arbres -
Jean Giono
La promenade, ce n'est pas du tourisme. C'est le plaisir de marcher, tranquillement, au gré de ses envies, sans objectif précis.
Le promeneur -
Jirô Taniguchi
Et nous, qu'est-ce qu'on pourra laisser derrière nous dans 50 ans ?
Le promeneur -
Jirô Taniguchi
Contribuer