Une citation de Marisha Pessl
proposée le lundi 18 avril 2016 à 05:00:01Marisha Pessl - Ses citations
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Papa attirait les femmes comme certains pantalons en laine attrapent les peluches. Je leur avais donné un surnom : les Sauterelles. Certaines, parmi les plus douces et les plus dociles, me faisaient de la peine, car papa avait beau ne jamais leur cacher qu’elles étaient aussi temporaires qu’un bout de scotch, la plupart étaient aveugles à son indifférence.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
La vie quotidienne est strictement réglée, frustrée de pittoresque, de diversité, de fantaisie. En Alaska comme en Patagonie, l’individu des sa naissance, est recensé, fiché, voué à tenir un rôle social. S’il ne veut pas encourir les foudres du pouvoir, il doit se faire une situation, mot suintant la stabilité, le conformisme, l’immobilité et donc l’immobilisme. Personne n’a plus les coudées franches, peu de gens donnent forme à leur vie selon leur désir.
L’aventure, 1972 -
Roger Mathe
Que sont les fantasmes ? Des rêves dont nous nous servons pour nous préserver de la réalité. Notre monde est un plancher rigide qui nous casse le dos si on dort à même le sol.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
Une histoire d'amour au dénouement vraiment poétique ne s'achève pas par des excuses, un pardon ou une enquête sur ce qui a mal tourné - l'option saint-bernard, avec bave et paupières tombantes - mais tout simplement dans un silence digne.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
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