Une citation de Milan Kundera
proposée le jeudi 08 février 2007 à 19:33:25Milan Kundera - Ses citations
Citations similaires
Je l’ai vu, debout à une fenêtre de son appartement, les yeux fixés de l’autre côté de la cour sur le mur de l’immeuble d’en face, et il ne savait pas ce qu’il devait faire.
L’insoutenable légereté de l’être, Gallimard, collection Folio n°2077, 1990, p.17. -
Milan Kundera
Je ne veux pas dire que pensée et décision sont sans influence sur les actes. Mais les actes n'exécutent pas simplement ce qui a été préalablement pensé et décidé. Ils ont leur source propre et sont les miens de façon tout aussi autonome que ma pensée est ma pensée, et ma décision ma décision.
Le Liseur Gallimard, 1997, p.25. -
Bernhard Schlink
Couché sur l'herbe, j'entendais la voix, puis la voix expira, et on n'entendait plus que le bruit du flot, le friselis du feu. C'était si beau que j'osais pas ouvrir les yeux. Mais il n'y avait rien à faire. Je savais que c'était l'heure et qu'il fallait les ouvrir.
La plaisanterie, Gallimard, Coll. Gallimard, 1990, p.193. -
Milan Kundera
Contribuer