Une citation de Fédor Dostoïevski
proposée le dimanche 25 décembre 2016 à 21:35:41Fédor Dostoïevski - Ses citations
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Tout individu a des souvenirs qu’il ne partagerait qu’avec ses amis. Il a d’autres pensées qu’il ne révèlerait pas même à ses amis ; il ne se les avouerait qu’en secret. Mais il y a d’autres choses qu’un individu craint de se révéler à lui-même, et tout individu qui se respecte a un certain nombre de telles choses cachées dans son esprit.
Notes from the Underground - Chapitre 11 -
Fedor Dostoïevski
L'amour, c'est le droit que l'on donne à l'autre de nous persécuter.
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Fedor Dostoïevski
Savez-vous que j’en suis à fêter l’anniversaire de mes sensations, l’anniversaire de ce qui me fût cher, de quelque chose qui, au fond, n’a jamais existé – parce que l’anniversaire que je fête est celui de mes rêves stupides et vains – et à faire cela parce que ces mêmes rêves stupides ont cessé d’exister, parce qu’il n’est rien qui puisse les aider à survivre : même les rêves doivent lutter pour survivre !.
Nuits blanches -
Fédor Dostoïevski
Je commence à croire dans ces minutes que je ne serai jamais capable de vivre une vraie vie ; parce qu’il me semble déjà que j’ai perdu tout sens du tact, toute sensation du réel, du présent ; parce que, pour finir, après le fantastique de mes nuits, je suis assailli par des minutes de réveil, des minutes effrayantes !.
Nuits blanches -
Fédor Dostoïevski
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